N’Djamena Bi Hebdo titre à sa une, Le Tchad n’ pas transformé ses recettes pétrolières en une croissance économique durable avant de souligner à son éditorial les crises sécuritaires. La crise sociale est terminée du moins en suspendant deux mois avec la signature, le 26 octobre de l’accord entre le gouvernement et la plateforme syndicale revendicative. Mais sur le plan sécuritaire c’est aussi la crise à divers endroits.
Rébellion et guerre d’or nous informe espace culture. Au onzième jour de l’opération que même l’armée tchadienne contre les habitants du village de Miski à l’extrême-nord du Tchad, de tirs sporadique et le broum-broum d’hélicoptère qui ramasse les victimes des mines se fait entendre de temps à autres, mais la situation reste tendues et pourrait d’une minute à l’autre.
L’opinion écrit à sa page deux, au pays du paradoxe. Le 30 octobre 2018 restera une date triste pour les fonctionnaires tchadiens. Car c’est ce jour que l’assemblée nationale à voter le projet de loi autorisant le président de la République à ratifier la convention internationale sur la protection des droits des travailleurs migrants et les membres de leurs familles.
Il ne faut pas se taire ! s’exclame le pays à sa une. La leçon politique de ce qu’il convient d’appeler « l’affaire N2A » est que nous avons à faire à un régime qui n’aime pas la contradiction, moins encore la dénonciation.
Le quotidien le progrès dans sa publication du 08 novembre nous renseigne sur les conséquences sociales de la suppression d’une institution de la République. Les agents de l’ex-primature réclament leurs. Après six mois la suppression de la primature, par la constitution du 04 mai 2018, conformément aux recommandations du forum national inclusif sur les réformes des institutions de la République.
Pour l’observateur, le syndrome de 2008 est à craindre. Les tchadiens et notamment les Djamenois, qui ont toujours vivace à l’esprit la dernière percée des rebelles de l’UFDD en pleine capitale avec les terribles conséquences qu’on connait, ne veulent plus voir se répéter un tel scénario.
Un mal ronge le Tchad. Deby limoge les officiers de l’armée nationale. Nous informe le Citoyen. Les tchadiens ont perdu leur conviction par ces temps où les tenants du pouvoir politique sont vachement riches. Les tchadiens résistent difficilement aux multiples tentatives qui s’offrent à leurs yeux. Un tel contexte n’étonne pas quand un haut cadre déclare publiquement que le pouvoir de Deby est d’origine divine. Ajoute le journal
Déversement dans la nature d’eaux d’exploitation pétrolière au Logone oriental : Glencore est accusée d’avoir pollué des rivières, champs à Donia c’est ce que révèle le progrès dans son numéro 4950 du vendredi 09 novembre.