Après quatre ans de vie d’entrepreneuriat, l’Amicale de Confiance des Entreprenants Sans frontière lors d’une conférence de presse, le vendredi 15 février à son siège au quartier Gassi dans le 7ème arrondissement de N’Djamena, a jeté un regard rétrospectif sur ses activités dans le domaine d’entrepreneuriat, de formation et d’orientation des jeunes afin de lancer les bases d’une nouvelle année d’entrepreneuriat.
« Nous avons une vision de créer de conditions adéquates pour que chaque personne puisse être acteur ou observateur », a dit le représentant de l’amicale, M. Marius Nadjiel Marsel.
Dans le domaine de l’entrepreneuriat, le Tchad reste encore un pays d’opportunité qu’il faut exploiter. C’est la certitude de l’amicale de confiance des entreprenants sans frontière dans le monde de l’entrepreneuriat. Former et accompagner les personnes qui souhaitent avancer sur le chemin de la liberté financière et réussir selon leur courage, développement et ingéniosité personnelle demeure le seul souci de ladite amicale. « Ce que nous voulons de plus c’est amener les gens à prendre conscience eux-mêmes et devenir des meilleurs acteurs de changement dans leur communauté et dans leur société», souhaite-t-il
Au Tchad, un grand nombre des jeunes sortent des écoles et instituts diplômés et se livrent en quête de l’emploi, mais les résultats ne sont pas toujours probants pour ces derniers. Plus l’horizon s’assombrit, plus les portes se ferment sur l’accès aux emplois. Mais quand tout devient sombre, l’entrepreneuriat apparait comme une des solutions à cette crise du siècle de chômage.
Mais comment et quand entreprendre dans un environnement torpillé de corruption et de clientélisme ?