Depuis une semaine, ces bœufs arpentent l’avenue Mobutu, de l’institut français du Tchad (IFT) jusqu’à la direction de la douane.
C’est qui est marrant, c’est que, ces bœufs circulent au milieu de la voie publique et ne font que brouter sur les plants des arbustes plantés entre les poteaux électriques pour l’embellissement du goudron.
Une question laisse à penser. Pourquoi les planter, les arroser puis les détruire ensuite ? Si ce n’est le paradoxe tchadien !
Construire une « vitrine de l’Afrique » qui s’autodétruit au fur et à mesure n’est nullement un projet d’envergure.