La Conférence internationale sur l’éducation des filles et la formation des femmes en espace francophone qui s’est ouverte le 18 juin à l’hôtel Radisson Blu de N’Djamena, a offert également des stands parmi lesquels, on découvre le plan international.
Dans le cadre de l’exercice de sa mission, le Plan international qui œuvre pour un monde juste fait progresser les droits de l’enfant et l’égalité pour les filles.
L’objectif de cette organisation est d’amplifier les messages auprès de tous les acteurs de l’éducation et de renforcer les synergies pour une meilleure prise en compte de l’éducation et de la formation des filles dans les politiques et pratiques.
Pour Haoua Ahmat Sossal, partenaire engagée des jeunes pour le Plan International, la cause primordiale de nos filles qui ne fréquentent pas est le mariage précoce. Car, selon elle, cette situation ne les permet pas d’aller à l’école ou de continuer les études.
« Le Plan international n’a pas encore son bureau au Tchad, mais comme les besoins se font ressentir dans toute l’étendue du territoire, particulièrement dans la zone Nord du Tchad avec le phénomène de l’insécurité. L’organisation Plan international intervient dans les endroits où il y a des crises. Nous voulons avoir d’ici 5 ou 10 ans nos filles scolarisés », a-t-elle appuyé.