C’était le dimanche 18 novembre 2018 à N’Djamena dans la matinée que ce corps d’un nouveau-né de sexe masculin était retrouvé dans une concession au carré 45 du quartier Walia Hadjaraï dans le 9e arrondissement.
Selon les informations recueillies sur les lieux de la scène, tôt le matin, une femme habitante de la concession incriminée devrait aller faire ses besoins matinaux, c’est ainsi, qu’elle a vu le corps d’un nourrisson qui jonchait entre la légion des asticots. Sur le pas, cette dame a eu la gentillesse d’alerter le chef de carré M. Oumar qui a son tour saisi sa hiérarchie. C’est-à-dire, son délégué du quartier. D’après l’enquête menée dans ladite concession « aucune femme n’a un signe d’une dame qui porterai un enfant ». A en croire, l’auteur de cet acte, serait venu de l’extérieur pour commettre ce double crime. Un double crime parce que non seulement, elle a mis fin à la vie de ce jeune garçon mais aussi, elle a porté atteinte aux personnes qui habitent cette concession.
Cette maison incriminée n’est clôturée qu’à moitié et sans portail. C’est ce qui a permis à cette personne « sans cœur » de s’introduire rapidement et jeter cet enfant innocent dans le WC.
Pour le représentant du délégué du quartier Walia centre, cette personne qui a posé cet acte inhumain doit payer « Prendre un humain et le jeter dans un WC sans crainte, c’est ne pas du tout bien, cette personne qui a fait cela doit payer avec les recherches et les investigations de la police encours ».