Tchad: Un Député arrêté pour viol sur mineure

Au cours d’un Point de presse, le premier substitut du procureur de la République de N’Djamena, annonce que le député a été pris en flagrant délit de mariage avec une mineure. “Une délégation a quitté N’Djamnea le 8 novembre dernier pour Noukou une localité située dans le nord du Kanem. Un mariage traditionnel a été organisé, laquelle délégation est revenue avec la nommée Zouhoura Mahamat Tahir. À ce titre le député Azahim Mahmat Hassane a convolé en justes noces avec cette dernière, lequel mariage a été normalement consommé. Au regarde de l’ordonnance 006/PR/2015 portant interdiction du mariage d’enfant. Nous parquet de N’Djamena, avons instruit la Police judiciaire à l’effet de procéder à une enquête préliminaire. Chemin faisant la PJ a interpellé et gardée à vue Monsieur Azahim Mahamat Hassan, législateur. Il lui est reproché la flagrance, point n’est besoin d’évoquer l’immunité parlementaire. Et tous ceux qui ont contribué à la consommation de cette infraction répondront de leur acte.”

DROIT DE RÉPONSE RELATIF AU POINT DE PRESSE FAIT PAR LE PRÉSIDENT DU BGEET

Le vice-président du Bureau de Transition des Églises Évangéliques du Tchad, pasteur KEMTCHANG Daniel a organisé, un point de presse ce mardi 20 novembre à la maison des médias du Tchad. L’objectif de ce point de presse est de répondre au président du Bureau Général de l’Église Évangélique du Tchad par apport a son point de presse qui a eu lieu le 18 novembre 2018 dernier les pointant du doigt.

 Réagissant, le pasteur Kamtchang Daniel dixit : «  la crise que traverse l’église  évangélique du Tchad date de plus d’une décennie et non  seulement à partir de la date de la publication du mémorandum ». Pour lui, la date  du 28 aout 2017, est une date à laquelle un mémorandum est écrit par les  serviteurs de Dieu dont le pasteur Tao Élysée faisait parti pour dénoncer la mauvaise gestion de l’église évangélique du Tchad par ses responsables.

Sur la question de nouvelles plaintes pendantes devant les Tribunaux, pasteur Daniel a souligné que, le président du BGEET  a déclaré qu’il s’agit des agissements de deux parties. Sur ce point, le président du BGEET referme les débats et renvoie les deux parties vers leurs bases respectives selon lui.

Le bureau de transition conseille vivement tous les chrétiens épris et de justice à vivre là réalité de l’Évangile et a prêcher l’amour du prochain. Car il s’agit la d’un combat spirituel.

AHMAT MAHAMT AHMAT

LA COMMÉMORATION DE LA NAISSANCE DU PROPHÈTE MOHAMMED OU AL-MAWLID DE L’ANNÉE 1440 HÉGIRE, L’AN 2018

Le Conseil des Affaires Islamiques du Tchad (CSAI) a organisé hier lundi 19 novembre à l’amphithéâtre de la grande mosquée Roi Faysal, la cérémonie de la naissance du Prophète Mohammed (Paix et Salut soit sur Lui) sous le thème « Sachez que le Messager d’Allah est parmi Vous ! ». C’étais en présence du représentant de Chef de l’Etat Idriss Deby Itno, M. Abba Ali Salah par ailleurs Ministre du Territoire, de la Sécurité et de la Gouvernance Locale, les Leaders religieux, les Ambassadeurs, le Maire de la ville de N’Djaména et la présence des quelques membres du gouvernement.

Cette fête musulmane célèbre l’anniversaire de la naissance de Mohammed, prophète à l’origine de l’islam. Elle est célébrée le troisième mois du calendrier musulman, soit le 12 de Rabi-al-awal. Le mot Mawlid est le dérivé du mot arabe (ولد), ce qui signifie donner naissance à un enfant ou un descendant.

Pour le Président du Conseil des Affaires Islamiques du Tchad, Cheikh Dr Mahamat Khatir Issa « Nous vivons aujourd’hui la veille du douzième jour du mois Rabi Al-awal, c’est la nuit dans laquelle, la lumière du Prophète a illuminé l’univers. La lumière a éclairé le monde après les ténèbres », a-t-il dit.

Cheikh Dr Mahamat Khatir Issa a souligné également que « La naissance du Prophète a changé le cours du monde. Des signes venant du ciel, des eaux, de la terre ont prouvé cela. C’est une date commémorative devant tout le monde et celui qui dit : Allah est son seigneur, l’islam est sa foi et Mohammed (PSL) est son prophète et Messager ; doit se tenir ferme à ses principes ».

Le monde avant la naissance du Prophète vivait dans un climat des désunions et d’instabilité générale. Aucune religion, aucune loi pour gérer la situation. Seule la loi du plus fort est la meilleure. Alors que le monde a besoin d’un éclairage, il était né Mohammed Ibni Abdoulaye (PSL). Comme Allah a dit : « Nous te n’avons envoyé que comme une clémence pour toute l’humanité ».

20 NOVEMBRE : LA BATAILLE POUR LA PAIX ET LA DIGNITÉ DES ENFANTS RESTE PROBLÉMATIQUE

En cette occasion où le monde commémore la journée internationale des droits des enfants, les enfants se peinent pour leur pleine potentialité. C’est en 1996 quand le Parlement français a décidé de faire du 20 novembre la « Journée Mondiale de défense et de promotion des droits de l’enfant » (loi 96/296 du 9 avril 1996). Cette journée internationale est un moment privilégiée pour se rendre compte des nombreuses injustices perpétrées contre les enfants dans le monde. Elle tente aussi de faire valoir la convention internationale des droits de l’enfant de 1989.

Kofi A. Annan, secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies a réaffirmé que «Rien n’est plus important que de bâtir un monde dans lequel tous nos enfants auront la possibilité de réaliser pleinement leur potentiel et de grandir en bonne santé, dans la paix et dans la dignité. »

Les enfants doivent être protégés des pires formes de travail, notamment le travail dans les mines d’or en raison des produits chimiques,   Le droit à l’éducation doit primer sur les pires formes de travail des enfants.

En 2017, ils sont 250 millions d’enfants soumis au travail dans le monde, dont plus de 150 millions dans des conditions dangereuses ! Il est impératif et primordial de combattre ce mal dans ce siècle. Pour ce faire, il faudra chercher à savoir ce qui pousse un père, une mère, à préférer voir son garçonnet, sa fillette, travailler péniblement plutôt que de le (la) voir à l’école.

Il est impératif que le message passe dans tous les établissements scolaires, dès la classe de CE1, les instituteurs doivent consacrer une matinée à instruire les enfants, que l’école est un lieu de protection s’ils ont des souffrances à exprimer, il faut casser le silence dans lequel les confine certains parents.

Au vu du nombre de cas sociaux qui ne cesse de s’amplifier, grossesses multiples, aides sociales, usage d’euphorisants, profitons de cette journée pour faire une vraie protection, beaucoup trop banalisée par différends services de la « protection de l’enfance « .

« L’enfant a le droit de vivre avec ses parents » : voilà une bonne raison de continuer à dire non à la GPA. Un enfant n’est pas un produit industriel, à fabriquer en laboratoire et à faire porter 9 mois par une néo-esclave. A-t-on pensé au traumatisme subi par l’enfant, arraché définitivement à celle qui constituait son seul univers depuis 9 mois – toute sa vie ? Oui aux droits de l’enfant, non à au droit à l’enfant !

L’enfant a le droit de vivre avec ses parents, de grandir, d’aller à l’ecole, d’avoir des copains, de voir sa famille, ses grands parents surtout quant il a le bonheur d’en avoir, de connaître son histoire, de ne pas être pris en otage entre ses parents et grands parents.

Lorsque des enfants sont séparés définitivement de leur mère (et père) biologiques, ils subissent un premier traumatisme. Lorsqu’ensuite, pour des raisons sociétales, leur adoption par un couple est rendue possible en dehors de la dualité homme femme, leur développement, basé sur l’offre réparatrice de filiation, n’est plus en cohérence avec le principe de procréation.

Cette situation ne peut pas être sans conséquences dommageables alors qu’ils n’ont pas la parole. A l’occasion de cette journée de l’enfance tournée notamment vers la non discrimination, exigeons pour eux aussi le droit à un père et une mère !

Création et développement d’un portail d’information et d’action pour les droits de l’enfant, afin de comprendre les droits des enfants, découvrir la situation des enfants dans le monde et en Inde, et agir pour concrétiser les droits des enfants.

 

LA PREMIÈRE DAME DU TCHAD CÉLÈBRE LA NAISSANCE DE MOUHAMMAD AVEC SES ENFANTS

Hinda Deby Itno s’est joint aux enfants pour célébrer ce matin 20 novembre 2018, Eid al Maouloud, une fête qui marque la naissance du prophète Mohamed. Cette commémoration a regroupé les différentes confessions religieuses du Tchad ainsi que les autorités religieuses et administratives.

Né en 571 à la Mecque, la naissance du prophète Mouhammad est à ses 1 440e célébrations. Une occasion pour la première Dame et fondatrice de la fondation « grand cœur » Hinda Deby Itno de réunir les enfants sans considération religieuse autour d’un partage des gâteaux et aussi faire passer un message pour la cohabitation pacifique au Tchad en présence des leaders religieux.

« L’islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Sa morale recommande de cultiver sans cesse et partout ses nobles valeurs. Je nous invite, au nom d’Allah, le miséricordieux, à faire nôtre, cet engagement, car la nation tchadienne en construction, a besoin des hommes et des femmes honnêtes, responsables et apôtres de la paix. Je vous exhorte, en ce jour saint, à vous départir de ces mauvaises pratiques et de privilégier les conduites vertueuses, dignes et citoyennes qui doivent assurer la grandeur de notre pays. Musulmans ou chrétiens, donnons-nous la main comme nous l’enseignent nos deux livres saints. Nous avons trop souffert de la division, de la haine et de l’hypocrisie » a  conseillé Hinda Deby Itno tout en rappelant la journée internationale des droits de l’enfant qui vient s’ajouter à ce jour de naissance de Mouhammad.

Pour valoriser cette journée des droits de l’enfant, la première Dame et la patronne de la fondation « grand cœur », a mis l’accent sur l’éducation des enfants et surtout des filles. Selon elle, « Aucun pays ne peut prospérer sans éducation car elle est la clé de voûte de tout développement ». La lutte contre le mariage des enfants n’en est pas le reste.

Après avoir interpellé les parents à assurer l’éducation de leurs progéniture, Hinda Deby Itno a reçu quelques hommages des enfants  et aussi des demandes ont été formulées par les élèves du complexe scolaire Ibnou Cina à l’égard de la première Dame  « Vous n’avez pas choisi notre école par hasard, vous l’avez choisis parce qu’il y’a du sérieux. Cependant, tout le monde voudrait inscrire son enfant dans notre établissement mais hélas, notre école est saturée. Nous vous demandons un terrain à Farcha, à Ndjari et à Diguel pour y construire afin que les autres enfants puissent goûter à l’éducation de notre complexe scolaire ».

Au total quatre écoles étaient invitées pour la circonstance. Il s’agit de : le complexe scolaire Ibnou Cina, le roi Faïçal, école Béguinage et les écoles catholiques. Pour encourager ces enfants, la fondation « grand cœur » a donné dix petits vélos aux meilleurs élèves de chaque établissement scolaire invité.

Dr Mahamat Nassour Abderahim, président de l’organisation religieuse ALDAWA islamique a saisi l’occasion pour remercier la Première Dame et fondatrice de la fondation « grand cœur » de son humanisme.

UN NOUVEAU NÉ JETÉ DANS UN WC DANS LE 9E ARRONDISSEMENT

C’était le dimanche 18 novembre 2018  à N’Djamena dans la matinée que ce corps d’un nouveau-né de sexe masculin était retrouvé dans une concession au carré 45 du quartier Walia Hadjaraï dans le 9e arrondissement.

Selon les informations recueillies sur les lieux de la scène, tôt le matin, une femme habitante de la concession incriminée devrait aller faire ses besoins matinaux, c’est ainsi, qu’elle a vu le corps d’un nourrisson qui jonchait entre la légion des asticots. Sur le pas, cette dame a eu la gentillesse d’alerter le chef de carré M. Oumar qui a son tour  saisi sa hiérarchie. C’est-à-dire, son délégué du quartier. D’après l’enquête menée dans ladite concession « aucune femme n’a un signe d’une dame qui porterai un enfant ». A en croire, l’auteur de cet acte, serait venu de l’extérieur pour commettre ce double crime. Un double crime parce que non seulement, elle a mis fin à la vie de ce jeune garçon mais aussi, elle a porté atteinte aux personnes qui habitent cette concession.

Cette maison incriminée n’est clôturée qu’à moitié et sans portail. C’est ce qui a permis à cette personne « sans cœur » de s’introduire rapidement et jeter cet enfant innocent dans le WC.

Pour le représentant du délégué du quartier Walia centre, cette personne qui a posé cet acte inhumain doit payer « Prendre un humain et le jeter dans un WC sans crainte, c’est ne pas du tout bien, cette personne qui a fait cela doit payer avec les recherches et les investigations de la police encours ».

L’UNION AFRICAINE VEUT SANCTIONNER SES MAUVAIS ELEVES

Au 11ème sommet extraordinaire de l’UA tenu en Addis-Ababa les 17 et 18 novembre à son siège,  des mesures ont été prises pour générer des recettes auprès des Etats membres. L’une de ces mesures vise à sanctionner ceux qui ne versent pas leurs contributions.

 

A la sortie de ce sommet, le dimanche 18 novembre, des réformes visant à rationaliser l’UA et à obliger ses Etats membres à honorer leurs obligations financières. Pour le président en exercice de l’UA,  Paul Kagam, les progrès réalisés lors de ce sommet extraordinaire sont a salués malgré que certaines de ses propositions aient été rejetées.

Le président de la commission de l’UA, le tchadien Moussa Faki Mahamat, pour sa part, a déclaré que la Commission de l’UA a lancé une trajectoire plus performante, avec des effets bénéfiques qui se feront sentir pendant des décennies avant de s’interroger sur le non respect des engagements de certains Etats membres en ce terme : « comment voulez-vous qu’une commission mette en œuvre son programme annuel alors qu‘à la fin de l’année budgétaire, elle ne représente que 50 % des contributions ? C’est une vraie question et, comme aujourd’hui, nous avons adopté une batterie de sanctions, cela conduira même à une suspension totale d’un Etat qui ne participera même plus à la conférence ni à toutes les réunions de l’Union africaine ». Souligne-t-il.

Le sommet soutient les mesures concernant la rationalisation de l’UA tout en générant des recettes auprès des Etats membres et en sanctionnant ceux qui ne versent pas leurs contributions. L’UA dépend actuellement des donateurs étrangers, qui, en 2019, paieront 54 % d’un budget total de 681,5 millions de dollars (596 millions d’euros).

L’UA est également mandatée de réduire le nombre de ses commissions de huit à six. La commission de la paix et de la sécurité sont fusionnées avec celles des affaires politiques et le commerce, et la commission de  l’industrie fusionnée avec les affaires économiques.

Samedi dernier, l’UA a lancé un fonds destiné à financer les réponses aux crises sur le continent avant qu’elles ne dégénèrent en conflits ouverts. Ce fonds devrait être doté à terme de 400 millions de dollars, mais rien que 60 millions ont été recueillis jusqu’à présent auprès des pays africains.   

CLÔTURE DE LA SEMAINE MONDIALE DE L’ENTREPRENEURIAT : LE PRIX DE L’ANNÉE EST DÉCERNÉ AU PROJET « SAHITNA »

A l’occasion de la clôture de la semaine mondiale de l’entrepreneuriat, une nuit d’entrepreneurs est organisée le samedi dernier au palais du 15 janvier. C’étais en présence de la représentante de la première Dame Hinda Deby Itno, Mme Madjidian Padja Ruth par ailleurs Ministre de la Formation Professionnelle et des Petits Métiers, la représentante de l’UNFPA/TCHAD Dr Edwige Adekambi Domingo et la présence des quelques membres du gouvernement.

La nuit de l’entrepreneur est la 5ème activité de la semaine, qui vient clôturer la 2ème édition de la Semaine Mondiale de l’Entrepreneuriat. Durant la semaine, plusieurs activités ont été animées dans les différentes salles du palais du 15 janvier, à savoir des conférences-débats, des ateliers de formation, la séance de coaching avec les porteurs des projets, etc.

Pour le président du comité d’organisation, M. Routouang Mohamed Ndonga Christian relève que l’accès aux financements pour ces jeunes est très difficile. Il souligne « Plusieurs années nous avons essayé à courir de gauche à droite pour soutenir certains projets, mais nous sommes toujours confrontés au défi de financement à ces jeunes entrepreneurs. Oui nous sommes confrontés et souvent nous avons honte même quand nous voulons dire a un jeune que tu gagnera un prix mais qu’on arrive pas à mettre à sa disposition ce fonds dont il a besoin pour commencer son entreprise. Ce soir notre défi est de relever un Fonds qui va appuyer les jeunes entrepreneurs et surtout donner un souffle aux porteurs du projets ». Sur la table de chaque invité, il y a un papier de coupon de souscription marqué : Fonds d’Appui aux Jeunes Entrepreneurs (FAJE) ou il est indiqué le nom et prénom du donateur, son contact, le montant (en espèces, chèque, ou son engagement) et une enveloppe.

Tout au long de la semaine six (6) projets ont été identifié et validé par les membres du jury. Trois de la Global Startup Weeking, deux de la Forum Startup Investissements et un projet de Futur Agro Challenge.

A la fin de la soirée, il y a eu la remise de prix aux six gagnants. Les trois premier gagnants sont pour la Global Startup Weeking. Le troisième prix est pour le projet de Centre de Formation Technique et Professionnelle en Minisérie Bois, le deuxième prix est gagné par le projet de Système Automatique de Suivit des Consultations Prénatale. Pour le ‘Futur Agro Challenge’ le projet M. Hal Souakar Ambera, il va représenter le Tchad à la finale internationale de la Future Agro Challenge en Grèce en mai 2019. Sans oublié le projet « TAMATIMNA » de Fatime Hachim le CO-fondatrice.

Le deux prix de Startup Investissement : Le prix du meilleurs projets 2018 est celui du RECIBLOC de Youssouf Abdramane. Et le prix de l’entrepreneur de l’année est décerné au «  SAHITNA » de Falmata Hassane et Zamzam Mahamat. Elles ont un accompagnement de six mois plus le prix du sponsor un voyage de l’incubateur au Benin.

Chaque projet gagne un accompagnement de six mois financé à travers le Fonds d’Appui aux Jeunes Entrepreneurs (FAJE) et un cadeau de Total Marketing.

TCHAD : L’UNION POUR LE RENOUVEAU ET LA DEMOCRATIE, U.R.D FAIT SA RENTREE POLITIQUE 2018-2019

L’Union pour le Renouveau et la Démocratie a fait sa rentrée politique 2018-2019, ce samedi 17 novembre à la cour d’une cérémonie qui a eu lieu dans le siège dudit parti sis au quartier moursal dans la commune du 6ème arrondissement de la ville de N’Djamena. Cette cérémonie a vu la présence des quelques chefs des partis politiques de l’opposition et un bon nombre des militants et sympathisants.
« Tous ensemble pour le renouveau au Tchad », c’est le thème choisi par le parti URD pour bien affranchir le pas de sa rentrée politique et amorcer un nouvel environnement politique juteux.
Dans son discours, le secrétaire général national de l’URD Djelaou Urbain a mis accent sur la mise sur pied d’un comité de réflexion sur les stratégies de campagnes électorales en cours, en vue de préparer les élections à venir.
« Durant l’année écoulée notre parti a joué un rôle et non des moindre dans la concertation entre partis politiques de l’opposition et le Parti Union pour le Renouveau et la Démocratie a été fondé pour répondre à ces desiderata. Avec un seul KAMOUGUE au départ, le parti compte après le père fondateur des centaines de KAMOUGUE, pour reprendre les termes de l’illustre disparu lui-même » Souligne le secrétaire général national, Djelaou Urbain
Selon le président de l’Union pour le Renouveau et la Démocratie, le député Romadoumngar Niable Félix, l’environnement politique tchadien est malsain et caractérisé par une destruction systématique et réglementaire de la démocratie car, le prince est seul à élaborer, c’est très élémentaires.
En outre Nialbe Félix s’est penché sur la question de la justice. Pour lui, il est de l’intérêt des tchadiens de favoriser l’indépendance de la justice pour assurer le bonheur des plus faibles. Cette indépendance de la justice pour être effective que si les justices obéissent aux décisions rendue par juge.
Notons que depuis sa suspension du sein de la CPDC pour cause de position politique contraire à l’isolationnisme prôné par la CPDC, l’URD ne fait partie d’aucun regroupement politique.
AHMAT MAHAMT AHMAT