Tchad: faute de budget, les législatives prévues en 2015 devront encore attendre

Prévues pour novembre et annoncées par le chef de l’État lui-même, les législatives, qui auraient initialement dû être organisées en 2015, devront encore attendre, faute de budget.

Selon N’Djamena, elles devraient coûter environ 70 milliards de F CFA (106,7 millions d’euros), une somme dont le pays ne dispose pas.

Le gouvernement se prépare tant bien que mal au sein du Cadre national de dialogue politique (CNDP), qui prévoit une réforme du code électoral et la création d’une Commission électorale nationale indépendante.

Revue de presse du 11 novembre 2018-11-10

N’Djamena Bi Hebdo titre à sa une, Le Tchad n’ pas transformé ses recettes pétrolières en une croissance économique durable avant de souligner à son éditorial les crises sécuritaires. La crise sociale est terminée du moins en suspendant deux mois avec la signature, le 26 octobre de  l’accord entre le gouvernement et la plateforme syndicale revendicative. Mais sur le plan sécuritaire c’est aussi la crise à divers endroits.

Rébellion et guerre d’or nous informe espace culture. Au onzième jour de l’opération que même l’armée tchadienne contre les habitants du village de Miski à l’extrême-nord du Tchad, de tirs sporadique et le broum-broum d’hélicoptère  qui ramasse les victimes des mines se fait entendre de temps à autres, mais la situation reste tendues et pourrait d’une minute à l’autre.

L’opinion écrit à sa page deux, au pays du paradoxe. Le 30 octobre 2018 restera une date triste pour les fonctionnaires tchadiens. Car c’est ce jour que l’assemblée nationale à voter le projet de loi autorisant le président de la République à ratifier la convention internationale sur la protection des droits des travailleurs migrants et les membres de leurs familles.

Il ne faut pas se taire ! s’exclame le pays à sa une. La leçon politique de ce qu’il convient d’appeler « l’affaire N2A » est que nous avons à faire à un régime qui n’aime pas la contradiction, moins encore la dénonciation.

Le quotidien le progrès dans sa publication du 08 novembre nous renseigne sur les conséquences sociales de la suppression d’une institution de la République. Les agents de l’ex-primature réclament leurs. Après six mois la suppression de la primature, par la constitution du 04 mai 2018, conformément aux recommandations du forum national inclusif sur les réformes des institutions de la République. 

Pour l’observateur, le syndrome de 2008 est à craindre. Les tchadiens et notamment les Djamenois, qui ont toujours vivace à l’esprit la dernière percée des rebelles de l’UFDD en pleine capitale avec les terribles conséquences qu’on connait, ne veulent plus voir se répéter un tel scénario.

Un mal ronge le Tchad. Deby limoge les officiers de l’armée nationale. Nous informe le Citoyen. Les tchadiens ont perdu leur conviction par ces temps où les tenants du pouvoir politique sont vachement riches. Les tchadiens résistent difficilement aux multiples tentatives qui s’offrent à leurs yeux. Un tel contexte n’étonne pas quand un haut cadre déclare publiquement que le pouvoir de Deby est d’origine divine. Ajoute le journal

Déversement dans la nature d’eaux d’exploitation pétrolière au Logone oriental : Glencore est accusée d’avoir pollué des rivières, champs à Donia c’est ce que révèle le progrès dans son numéro 4950 du vendredi 09 novembre.

 

 

 

NECROLOGIE : LE TCHAD A PERDU UN GRAND HOMME POLITIQUE, ME BECHIR MADET !

Notaire de formation et l’auteur  de l’ouvrage ‘’Itinéraire du paysans notaire’’, Me Béchir Madet, a rendu l’âme ce 10 novembre en France, suite à un arrêt cardiaque. Il est  en France pour participer à la troisième édition de la rentrée littéraire internationale du Tchad.

 Les tchadiens sont attristés de sa disparition et garderons en lui des très souvenirs pour ses efforts consentis dans l’appareil gouvernemental et administratif.

Né à Kolobo dans la province du Mayo Kébbi-Est. Il est Diplômé de l’Ecole nationale d’administration et de la magistrature (ENAM). L’ancien élève de  l’école de notariat de Nîmes, en France. Il fut greffier en chef des tribunaux de la ville de Bongor et de N’Djamena. Depuis 1998, il a occupé la fonction de notaire et a ouvert un office.   

Béchir Madet fut ministre de la Justice, ministre du Pétrole, et des Mines, questeur du Conseil économique, social et culturel du Tchad.

L’homme est connu de beaucoup des tchadiens pour ses largesses et son engagement politique, grand promoteur de la littérature tchadienne.  Il était de toutes les luttes pour le rayonnement de la culture tchadienne.

Tu es parti mais saches que « le vrai tombeau des morts c’est le cœur des vivants »

Tchad : la société tchadienne des eaux a licencié 190 agents

La Société Tchadienne des Eaux (STE) a licencié plus de 190 agents toutes catégories confondues. Le motif évoqué est des difficultés économiques à l’origine aussi d’une baisse des chiffres d’affaire. .
Selon des sources internes, l’autre cause de ce débarquement presque collectif est l’effondrement du marché, des fluctuations plus ou moins normales et à un ralentissement notoire des abonnés.
« La baisse du chiffre d’affaires sur plusieurs années consécutives et détérioration spectaculaire du résultat. Les résultats déficitaires corroborés par un résultat d’exploitation négative et la perte de clients. La diminution notable des résultats du chiffre d’affaires dans un contexte de crise économique généralisée. Déficit correspondant à une variation de résultat très important l’année précédent le licenciement de certains salariés, suivi d’une très légère amélioration des résultats qui a suivi en raison de la suppression de poste et la réorganisation par l‘adoption d’un nouvel organigramme. Des pertes ayant entrainé la chute des capitaux propres devenus inférieur au capital social avec comme potentielle conséquence la déclaration de la faillite etc », entre autres, des raisons que nous avons tiré des documents liés aux licenciements de ces agents.
Par contre, selon les délégués du personnel, toutes ces raisons sont montées de toutes pièces ajoutant que, les chiffres d’affaire de la STE n’ont jamais cessé de croitre année après année depuis la création de la Société en 2011. Selon le document, avec l’application de la nouvelle grille tarifaire en 2018, la facturation de la STE est passée du simple au triple. Dans leur réponse adressée à la direction générale, les délégués du personnel ont décrié la mauvaise gestion des ressources financières allouées à ladite société. D’après les délégués du personnel, depuis l’arrivée de la directrice à la tête de ladite Société, la direction n’a consenti aucun effort ni sacrifice que dans ses avantages lors des révisions successives des primes et indemnités.
« La direction a augmenté le salaire a 1 500 000FCFA ; responsabilité 400 000 FCFA, logement 350 000 FCFA, domesticité 300 000 FCFA, carburant 698 000 FCFA ; téléphone 135 000 FCFA et les frais d’internet supplémentaires 120 000 FCFA, soit une moyenne mensuelle de 3 383 000 FCFA », peut-on lire dans un document remis par les délégués.
Les délégués du personnel regrettent que, « cette somme est capable de payer le salaire mensuel de 23 agents d’exécution avec un salaire mensuel moyen de 150 000 FCFA ». les délégués des agents licenciés estiment qu’il y a « des manquements managériaux notoires successifs constatés çà et là depuis trois ans qui ont contribué à enfoncer la STE dans l’ornière actuelle ». D’autres maux qui ont plongé la STE selon les délégués, sont entre autres, le non respect des textes dans l’attribution des marchés, l’achat abusif des matériels et matériaux, le recrutement sans besoin des nouveaux agents (140 en 2016).
« La Direction Générale a fait une proposition pour licencier 190 agents soit 50,93% de l’effectif global. Nous avons la ferme conviction qu’avec les 183 agents restants, la STE serait incapable d’assurer sa mission qui est de donner de l’eau potable à la population dans les 18 villes desservies dont la capitale N’Djamena», ont indiqué les délégués du personnel, qui regrettent une mauvaise foi estimant que, la direction chercherait à recruter d’autres personnes après leurs licenciements.

TCHAD : COUPE D‘AFRIQUE DE SLAM POÉSIE 2018, SUITE ET FIN

La coupe d’Afrique de Slam Poésie 2018 qui se vit depuis 6 jours déjà est presque tirée à sa fin à N’Djamena avec plusieurs activités réalisées et de nombreux concerts qui ont eu lieux.
Deux ateliers étaient au programme dans cette matinée du 10 Novembre, notamment, sur le Blogging qui s’est déroulé à l’institut français du Tchad (ift) et l’atelier de conception et montage de projet artistique au niveau de la maison de la culture Baba Moustapha. Ce dernier est animé par le président de la CASP, Didier Lalaye connu comme Aka Croquemort dans la grande salle autour de plusieurs participants et également le thème sur le réseautage qui avait été abordé, suivi des débats autour des problématiques clés relatives au développement socio-économique du Tchad.
En effet, les phases des demi-finales et la finale se déroulera à 19h à l’établissement Talino Manu. Il faut rappeler que cette coupe a opposé 37 candidats venus des différents coins de l’Afrique, qui connaitra enfin le champion ce soir.

ALLARAMAJI INNOCENT

LITTERATURE : LAPEUNO PAKAGOCHY PRÉSENTE SON LIVRE INTITULE « LA BARCAROLLE DE LA MUSE MÉLOPÉE OU ÉPOPÉE ?»

Pendant que le Tchad à l’instar des autres pays célèbre le mois international du livre, un nouveau titre apparait dans la littérature tchadienne par un livre de poésie parue dans les éditions Presse Monde.

La barcarolle de la muse mélopée ou épopée d’où le titre du roman, une œuvre littéraire poétique qui dit, selon l’auteur « le poète sur la terre est un ambulant lampadaire ». Ouvrir ce recueil de poème qu’il signe, c’est tirer le verrou du portail doré de cet univers féerique, celui ou les rayons de ce « lampadaire mouvant »mouchardent, congratulent, conscientisent paternellement et dévorent les ténèbres de la haine, de l’arbitraire et de la démocratie mouchetée. Cet ouvrage est un regard sur différents aspects de la vie de société sur le vivre ensemble, la superstition, l’idylle, l’amour, la femme, la paix l’espérance et la beauté, la spiritualité, la mort que constituent les thèmes traités dans cet ouvrage.

Né à Pala, le 25 Aout 1991, Lapeuno Pakagochy a fait ses études de droit et de sciences politiques respectivement à l’université de Moundou, de N’Gaoundéré et de Yaoundé II/SOA. Nanti d‘une maitrise en droit public, et d‘un master en relations internationales, ce jeune se voit également impliqué dans les problèmes de développement du Tchad. La barcarolle de la muse mélopée ou épopée ? est sa deuxième œuvre après les larmes du paysan parue en 2006 dans les éditions Edilivre.

ALLARAMADJI INNOCENT

LA LAÏCITÉ A L’ÈRE DE LA IVE RÉPUBLIQUE AU TCHAD DEMEURE UN PROBLÈME

Le Centre Al-mouna a organisé ce matin 10 novembre 2018 dans ses locaux une conférence débat sous le thème : « La laïcité à l’ère de la IVe République au Tchad » avec des éminents orateurs tels que : Dr SALI Bakari, historien et enseignant-chercheur, Dr Sitack Yombatina Beni, juriste et enseignant-chercheur, M. Abdelkerim Marcelin, juriste-politologue et Chercheur au centre Al-mouna,  Pr Mahamat Seid Abazene, juriste et enseignant-chercheur, M. Daïnro Célestin historien et chercheur et Dr Gali Ngothe Gata, économiste et enseignant chercheur intervenant comme modérateur dans cette discussion avec le public. Le but de ce débat est de lever l’équivoque sur le terme « Laïcité et la République avec tous ses corolaires».

L’entrée du Tchad à la IVe République depuis mai dernier devient de plus en plus source de problème et de débat qui fait couler la salive des tchadiens partout dans les milieux intellectuels. Il faut savoir que cette instauration de la IVe République était mal partie et négociée par les tchadiens eux-mêmes puisqu’il n’y a jamais eu des accords communs.

Cherchant à comprendre afin d’évoluer dans cette nouvelle République, les intellectuels ont cherché le sens et la compatibilité du mot « laïcité qui est la neutralité de l’État avec les religions » dans cette IVe République d’où le Tchad. Il ressort dans cette discussion que le serment confessionnel instauré dans la IVe République pose énormément de problèmes « Article 1: Le Tchad est une République souveraine, indépendante, laïque, sociale, une et indivisible, fondée sur les principes de la démocratie, le règne de la loi et de la justice. Il est affirmé la séparation des religions et de l’État ».

Ce premier article de la constitution élucide clairement la part de responsabilité qui devrait avoir lieu entre l’État et les religions malheureusement « il y a une double lecture, il y a ceux qui pensent que le Tchad est un État laïc et d’autres pensent que le Tchad ne peut pas être comme un État laïc parce que pour eux, si le Tchad est un État laïc comment comprendre le rapport entre l’État tchadien et le Conseil Supérieur des Affaires islamiques  ou comment comprendre que dans un pays où il y a des musulmans, des chrétiens, des athées et des animistes il faut prêter le serment confessionnel avant d’accéder à un poste de responsabilité à la fonction publique? » sont là autant des questions posées par les participants voire les panélistes eux-mêmes.

Le serment confessionnel est instauré pour limiter la corruption et le vol dit-on. Cela n’a pas jusque-là empêché à ces pratiques d’exister. Et d’ailleurs devant qui répondront de leurs actes ces voleurs et ceux qui font usage de la corruption puis qu’ils ont signé le contrat avec Dieu ? C’est la question posée par les panélistes.

Pour les panélistes l’État n’entretient pas une politique d’homogénéité. Car en mettant sur pied le serment confessionnel, il opprime quelques catégories de sa population et les classe dans l’oubliette. Parce que ceux-là tant qu’ils ne prêteront pas « le serment confessionnel » n’auront pas leur place dans la fonction publique. Ils ne sont pas passés par le dos de la cuillère pour dire « l’État utilise les religions à ses fins. Les religieux doivent faire très attention » interpellent-ils.

La question de la laïcité reste toujours à répondre mais en attendant tous pensent que le serment confessionnel et l’ingérence de l’État dans les affaires religieuses doivent faire vent et que sauf l’éducation, l’amour de la patrie, la tolérance, la fraternité, peuvent faire avancer le pays.

INTERNATIONAL : MACRON ET TRUMP JOUENT LA CARTE DE L’APAISEMENT APRES LA COLERE

« Nous célébrons ici l’amitié entre nos peuples, nos armées, et la formidable solidarité qu’il y a eu entre nous qui sommes parmi les plus vieux alliés », a dit le président français, Emmanuel Macron à la veille de la cérémonie de commémoration du centenaire de la fin de la Première Guerre mondiale.
« Je vais évidemment partager avec le président Trump les propositions faites sur les capacités stratégiques européennes et une Europe qui puisse prendre davantage sa part du fardeau commun au sein de l’OTAN », a-t-il ajouté. « En tout cas, je suis très heureux à nouveau d’accueillir mon ami le président Trump».
À ses côtés, le président américain, qui avait été accueilli un peu plus tôt sous une pluie fine sur le perron du palais présidentiel par Emmanuel Macron, a salué la relation « amicale »
entretenue avec son homologue français.
« Nous avons beaucoup de choses en commun à de nombreux égards, peut-être que certaines personnes pensent le contraire, mais non, nous partageons beaucoup de choses », souligne Trump.
« J’apprécie énormément ce que vous avez dit concernant le partage du financement de la défense. Nous souhaitons que l’Europe soit forte, nous devons travailler de manière efficace afin de renforcer l’Europe, c’est ce que nous souhaitons tous. »
À peine arrivé à Paris vendredi soir, Donald Trump avait fustigé les propos d’Emmanuel Macron sur la création d’une armée européenne. « Très insultant, mais peut-être l’Europe devrait-elle payer sa part (du budget) de l’OTAN, que les États-Unis assument largement », avait-il écrit sur Twitter.
Dans une entrevue à Europe 1 cette semaine, Emmanuel Macron a prôné la création d’une « vraie armée européenne » pour que l’Union ne dépende pas seulement des États-Unis face à une Russie « menaçante ».
AHMAT MAHAMAT AHMAT

TCHAD : REMANIEMENT GOUVERNEMENTAL, DEUX DEPARTS, DEUX ENTRANTS

En 182 jours, le Tchad a connu trois gouvernements. Le premier le a eu une durée de 39 jours, du 07 mai au 18 juin soit 140 jours, le deuxième 18 juin au 09 novembre et le troisième vient d’être connu il y a quelques heures.

Dans cette nouvelle équipe gouvernementale, l’on note deux départs celui du Ministre délégué à la Présidence de la République, chargé de la défense nationale, des anciens combattants et victimes de guerre BICHARA ISSA DJADALLAH quitte le gouvernement et laisse son poste ministériel à DAOUDE YAYA SOUMAINE qui signe son entrée au gouvernement et le  Ministre Youssouf Abassalah qui cède sa place à l’incontournable Ahmat Mahamat Bachir qui dirigera désormais les commandes du département des Mines du développement Industriel, Commercial et de la Promotion du secteur Privé.

Deux nouveaux entrants L’ancien gouverneur du Lac Mahamat ABALI SALAH revient au gouvernement qui s’occupera de l’Administration du Territoire, de la Sécurité Publique et de la Gouvernance Locale. L’ancien Directeur de la télévision nationale Oumar YAYA HISSEIN fait aussi entré au gouvernement comme Ministre de la Communication Porte parole du gouvernement

Contrairement à l’ancienne équipe, la nouvelle compte 31 membres dont 26 postes ministériels et 5 secrétaires d’Etat. Parlant du quota des femmes le nombre reste le même, soit 9/31 pour un taux de 29, 03%

Un rajustement, NDOLENODJI Alixe Naimbaye prend les rênes du département des Postes, des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication.

Un nombre de la première équipe de la gouvernementale conserve leur poste.  D’autres par contre ont tout simplement changé de poste au rang desquels Ahmat Mahamat Bachir quitte  l’Administration du territoire, de la Sécurité publique et de la Gouvernance locale pour le Ministère des Mines, du Développement industriel, Commercial et de la Promotion du secteur privé. L’ancienne Secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères à la Coopération Internationale et à la Diaspora  Aichta Saleh Damane se retrouve désormais au Secrétaire d’Etat à
l’Education Nationale et à la Promotion Civique. Ndordji Nazaire SE à l’Education Nationale et à la Promotion Civique est le nouveau Secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères à la Coopération Internationale et à la Diaspora. Mariame Mahamat Nour Ministre  SG du Gouvernement Chargé des Relations avec l’Assemblée Nationale sera Secondé par Mahamat Hamid KOUA Secrétaire General du gouvernement Adjoint.

TCHAD : OUVERTURE DES TRAVAUX DU SOMMET DE LEADERSHIP A N’DJAMENA 2018

N’Djamena la capitale tchadienne abrite du 09 au 10 novembre, les activités du sommet mondial de leadership, ce sommet global  est placé sous le thème : «l’influence au cœur de leadership». Pendant deux jours des travaux, les participants vont se pencher sur les sujets relatifs aux compétences  en matière de leadership et la conformité sociale.

Le premier  jour des activités du sommet de leadership  a commencé par deux conférences vidéo. La première est accèes sur le leadership participatif animé par  Graing Grosechel. Selon  lui, « la différence entre les bons et les grands leaders, c’est la capacité d’anticiper l’évolution du paysage dans votre secteur d’activité plutôt  que d’y réagie ».

Développer une connaissance de la situation, pour Graing cela veut dire d’évaluer et de comprendre honnêtement  et avec exactitude le véritable état actuel de votre  organisation et de votre leadership.

En outre, le conférencier ajoute que, un leader  doit exercer sa prise de conscience  en posant un regard honnête sur ce qu’il dirige.

Le deuxième temps fort de ce sommet, c’est la Co-conférence vidéo. Celle-ci est animée par John Maxwell  et Angela Ahrents tous les deux ont se sont penchés autour des valeurs fondamentales  et les rythmes du leadership. Quand à la conférencière  Angéla, « les valeurs induisent le comportement qui influence le leadership ».

Pour mieux voir le leadership, Maxwell enseigne qu’un « leader doit croire dans l’abondance et cela doit s’accompagner de deux mots ».

Nous devons toujours avoir un écart de vision qui nous oblige à savoir besoin  de plus  et avant. Cet écart  est décrit  comme l’espace entre ce que vous faites et ce que vous pourriez faire a-t-il indiqué.

 AHMAT MAHAMT AHMAT