LE TCHAD SE PREPARE POUR LA 2EME EDITION DE LA SEMAINE MONDIALE DE L’ENTREPRENEURIAT (SME)

Du 12 au 18 novembre 2018, le Tchad va organiser la 2ème édition de la semaine mondiale de l’Entreprenariat au Palais du 15 janvier de N’Djamena. Une semaine placée sous le thème : « L’Entreprenariat pour la transformation socio-économique ».

L’objectif principal de cette semaine mondiale de l’entreprenariat est de démontrer la diversité de l’écosystème entrepreneurial du Tchad et d’être un centre de réseautage et d’interconnexions des jeunes entrepreneurs, des jeunes porteurs de projet et le cercle des investisseurs et entrepreneurs aguerris.

Célébrée dans plus de 170 pays, la SME est une collection de programmes et initiatives mondiaux visant à aider des millions de personnes à libérer leurs idées, les transformer en nouvelles entreprises prometteuses et inspirer des millions d’autres personnes à s’engager dans les activités entrepreneuriales, tout en les connectant à des potentiels collaborateurs, mentor et mêmes les investisseurs.

Selon la banque mondiale, l’entreprenariat est essentiel pour le développement durable et joue un rôle crucial dans la pauvreté, l’égalité des sexes et la viabilité environnementale. « Il apparait comme primordial dans l’environnement économique tchadien dont plus de 90% des entreprises créées évoluent dans le secteur informel et sont motivées par une nécessité économique en lieu et place d’une opportunité. La majorité des entrepreneurs sont analphabètes et ne possèdent des formations ou cultures entrepreneuriales suffisantes pour faire face aux défis auxquels ils sont confrontés ».

« Nous rencontrons très peu au Tchad des entrepreneurs animés par des opportunités économiques, véritables vivriers de l’emploi. L’impact de ce type d’entrepreneur est visible sur le développement d’un pays », constatent les organisateurs.

D’après le rapport Global Entrepreneurship Monitor, l’entrepreneur motivé par des opportunités aspire au profit et à l’indépendance. Il innove et vise une forte croissance de son activé, notamment par une expansion au-delà des marchés, des produits et des services locaux.

Le choix porté sur le thème de cette année est la promotion de la culture entrepreneuriale basée sur les opportunités économiques pour accroitre de façon durable leurs impacts sociaux et économiques dans la vie du peuple tchadien. « Par cette initiative, nous cherchons à vulgariser, motiver, former et créer des cadres favorables à un entreprenariat animé par les opportunités et non un entreprenariat légitimé par la nécessité de survie. La recherche accrue des opportunités dans un environnement vierge mais parsemer de quelques défis conjecturels et structurels constituent un objectif majeur pour la SME 2018 pour améliorer les conditions de vie de façon durable et briser le cycle infernal de la pauvreté dans les familles », précisent-ils.

Durant une semaine, cet évènement gratuit va rassembler des milliers des participants autour de différentes activités (Global Startup Weekend, Les journées de l’entrepreneur, le Festival Agrobusiness Tchad, le Forum Startup Investissements, la Nuit des Entrepreneurs, N’Djamena Hackathon…) avec des résultats qui seront attendus au sortir de la semaine.

Djimnayel Ngarlenan

DE L’EAU POUR LE BHAR EL GHAZAL

L’Association des Jeunes pour le Développement du Bhar El ghazal a tenu un point de presse ce matin 05 novembre 2018 à la maison de médias du Tchad pour lancer officiellement la campagne de la collecte de fonds pour la construction de deux châteaux d’eau à Moussoro.

L’eau, c’est la vie a-t-on l’habitude de dire. L’accès à cette source indispensable à la vie devient de plus en plus rare dans cette ville. Situation qui a poussé les jeunes de cette localité à lancer un cri d’alarme à toute personne de les venir en aide afin de construire ces deux nouveaux châteaux qui viendront au renfort à l’ancien : « Quand vous arrivez à l’entrée de Mossoro, la première des choses que vous verrez, c’est ce géant et majestueux château aux couleurs de l’aluminium. Ce château construit, dans les années 70, au temps du Président Ngarta Tombalbaye François n’arrive plus à desservir Moussoro. La population de cette ville a grandi et ce château n’arrive plus à couvrir ses besoins en eau. En 2018, si on fait des heures pour avoir de l’eau, c’est triste. Que faut-il faire ? Regarder cette population souffrir ou lui venir en aide ? », telle est la raison de cet appel affirme M. Mahamat Nour Adoum Sougoumi président du comité d’organisation.

Faut-il le rappeler, cette demande d’aide intervient juste après une mission qui était dépêchée à Moussoro par ladite association des jeunes pour le constat, il ressort de cette mission un rapport très alarmant par rapport à l’accès à l’eau potable d’où la nécessité d’intervenir.

« Nous lançons un appel pressant à l’endroit des cadres et commerçants de la province mais pas seulement. Nous avons besoin de la contribution de toutes les couches de la population. Nous acceptons toute aide  que ce soit en nature ou en matériel. L’État lui seul ne peut pas tout faire » lance M. Mahamat Nour Adoum Sougoumi

Les efforts consentis par les ONG dans cette localité n’ont pas été perdus de vue par l’Association des Jeunes pour le Développement du Bhar El Ghazal, néanmoins leurs aides seront toujours les bienvenues conclu le président d’organisation.

Pour toute contribution veuillez contacter : (+235) 66 5543 53/66 67 66 27/99 59 00 06 et le 99 93 97 20   

LA REVUE DE PRESSE

Le Progrès parle  des opportunités industrielles et le fer étant inexploité, le Tchad exporte sa ferraille. Des indices de fer sont signalés dans le Ouaddaï, l’Ennedi, le Guéra et le Tibesti mais aucune exploitation n’en est effectuée jusqu’à ce jour.

La Une de l’hebdomadaire Le Citoyen interview croisée ; Deux intellectuels parlent, le Dr Sitack Yombatina Béni enseignant a l’ENA et le Dr Ali  Abdel-Rhamane Haggar parlent de la nécessité  de la 4e République, le serment confessionnel et son impact sur la gouvernance politique et économique sans oublier la grève  et le dysfonctionnement des services publics.

Salam info se pose la question de savoir qui veut la tête de l’héritière Alixe Naimbaye, la ministre des postes est sur la sellette entre injonctions aux directeurs généraux de ne pas franchir le cap de 10 millions de dépenses sans son aval et bras de fer avec des opérateurs économiques qui ne tiennent pas leur engagement, la ministre est intransigeante dans sa volonté de réformer son département, des lobbies annoncent son départ souligne salam info qui mentionne à sa petite une Fatigué NadjoKaina a trahi ses amis, le porte-parole de Iyina NadjoKaina vient de faire une fracassante défection en s’alignant  sans honte aux cotés des oppresseurs poursuit le journal.

Combien NadjoKaina Palmer a-t-il eu de la présidence s’interroge le visionnaire, le journal nous informe que le leader du mouvement citoyen est allé se jeter dans les bras de la première dame pour dit-il lutter contre le repli identitaire. Une compromission de celui qui se dit porte-parole d’une jeunesse martyrisée. Vers un conflit ouvert entre Touadéra et Déby parlant de l’absence remarquée du président centrafricain au sommet extraordinaire de la CEMAC tenu à N’Djamena la semaine dernière Faustin Archange Touadéra a préféré envoyé son ministre des finances dans la capitale tchadienne ce qui n’aurait pas plus au président en exercice de la CEMAC Idriss Deby Itno qui depuis quelques temps n’entretient pas de bonnes relations avec le nouvel homme fort de Bangui.

Le trimestriel Abba Garde titre ça ne marche plus entre les deux patrons, les défaillances flagrantes du secrétariat général  de la présidence et l’absence de la cohésion et de la solidarité gouvernementale créent un froid entre le chef de l’État et son commis Kalzeubé Payimi Deubet. Le journal décrit Ousmane Adam Dicki comme un analphabète  illuminé à la tête des douanes et nous dit que le président Déby a signé son arrêt de mort en nommant son neveu au poste de directeur général des douanes car ce dernier a le niveau de cours élémentaire deuxième année. Conclut le journal.

N’DJAMENA : LE NOUVEAU MAIRE DE N’DJAMENA, SALEH ABDEL-AZIZ DAMANE INVITE SES CONCITOYENS A L’ENLEVEMENT DES ORDURES

Depuis près de trois semaines, la nouvelle équipe de l’exécutif communal de la ville N’Djamena fait des descentes dans les arrondissements de la capitale, pour les opérations de l’enlèvement des ordures ménagères et le nivèlement des rues. C’est à peine un mois de sa prise de fonction le 05 octobre dernier, que le nouveau maire de la ville de N’Djamena, Saleh Abdel-aziz Damane a initié cette opération d’assainissement dans les 10 arrondissements. 

Le maire Saleh Abdel-aziz Damane et son staff s’engagent à enlever les ordures et niveler les rues après les eaux des pluies. Ces actes selon lui, « permettent de donner un coup d’éclat aux enlèvements d’ordures ménagères car la gestion des ordures ne relève pas seulement de la compétence de la mairie mais toute la population doit s’y mettre à l’œuvre pour assainir la ville » lance–t-il.

De son passage, Saleh Abdel-aziz Damane n’a pas cautionné l’incivisme de la population de cette municipalité qui dépose partout les ordures et les eaux usées versées ça et là sur les voies bitumées.

Le motif de ces opérations, c’est de voir et constater l’incivisme de la population. Pour mener à bien son programme, Saleh Abdel-aziz Damane a demandé la contribution de toute la population et des média.

Le constat de ce matin dans le 2ème est le même dans le 4ème et 5ème arrondissement où l’équipe s’est rendue. L’incivisme bat son plein. Les dépôts sauvages des ordures s’observent un peu partout sur les voies publiques. Le maire de la commune du 2ème, Douga Ahmat Fathi se dit conscient de cette pratique et entend  sensibiliser sa population pour mettre de la propreté.

La population quant à elle se félicite de l’initiative de la mairie centrale et promet mener des activités d’assainissement afin de pouvoir rendre leur environnement sain

Il faut rappeler que cette initiative est la unième fois inscrite dans les programmes des maires qui se sont succédé à la tête de la mairie centrale de la capitale, mais le constat est que les actions ne se pérennisent pas. Aujourd’hui pour toute la commune de N’Djamena, seulement, 4 camions à benne et une niveleuse sont fonctionnelles déclare le maire Saleh Abdel-aziz Damane.

Tchad : l’opposant Acheikh Ibn Oumar vient de regagner N’Djamena après plus de deux décennies d’exil.

L’opposant Acheikh Ibn Oumar vient de regagner N’Djamena après plus de deux décennies d’exil.

M. Acheïkh Ibn Oumar vient de regagner le bercail ce 04 novembre 2018, après 25 ans d’exil politique. Ce retour fait suite à l’amnistie générale décrétée par le Chef de l’Etat IDRISS DEBY ITNO après la promulgation de la loi fondamentale du 04 mai 2018. Il a été accueilli à l’aéroport international Hassan Djamouss par le ministre de l’Administration du territoire, de la sécurité publique et de la gouvernance locale, M. Ahmat Mahamat Bâchir qui avait à ses côtés, le Directeur de Cabinet civil adjoint du Président de la République, M. Brahim Mahamat Djamaladine. Parents, amis et connaissances de l’ancien chef de la diplomatie tchadienne ont également fait le déplacement de l’aéroport international Hassan Djamouss de N’Djaména pour lui souhaiter un bon retour parmi eux. Livrant ses premières impressions à la presse nationale au parvis du salon d’honneur, Acheïkh Ibn Oumar precise que « l’exil n’est pas un métier ni une vocation, peut être parfois pour des raisons professionnelles ou académiques. Mais l’exil politique est une anomalie, une exception. La place normale de tout homme politique, citoyen soucieux de l’avenir de son pays, c’est d’être au sein de sa société mais les circonstances imposent ce genre de situation. Donc, pour moi, c’est juste un retour à la normale, un retour à la maison auprès des parents, des amis de jeunesse, des collègues et certains de mes maîtres qui n’ont formés à l’école ou à l’école de la vie. Certains survivent encore, Dieu merci. Mais, je vais vous laisser sur votre faim, parce que je suis un peu dépassé par l’émotion donc, je ne peux parler davantage ».

Un sous-préfet du Tibesti démissionne suite à des violences à Miski

Des affrontements entre l’armée et des présumés terroristes ont eu lieu mercredi 31 octobre à Miski dans la région du Tibesti. L’armée avait affirmé avoir répondu à une attaque de la rébellion tchadienne. Selon le sous-préfet de Yebbibou, l’armée aurait utilisé des moyens aériens et d’artillerie pour s’en prendre aux populations civiles. Le sous-préfet annonce à RFI qu’il démissionne de son poste.

Le sous-préfet dénonce des bombardements aériens, des pillages et des incendies de maisons. « Je ne peux pas cautionner ces actes. Par conséquent, je tire les conclusions qui s’imposent et je démissionne de mon poste avec effet immédiat. »

Le sous-préfet démissionnaire annonce dans la foulée rejoindre un comité d’autodéfense, car pour lui ces opérations ainsi que le nouveau découpage territorial engagé par l’Etat n’ont qu’un but.

« Déby et son clan voudraient absolument mettre la main sur la richesse de Miski. J’ai dit cela en connaissance de cause. Sous mes responsabilités. C’est-à-dire pendant que j’étais sous-préfet. Déby et sa famille ont tenté à maintes reprises d’exploiter l’or de Miski, en dehors de tout cadre légal. »

Des accusations rejetées par le ministre tchadien de la Sécurité publique Ahmat Mahamat Bachir. Mais le ministre reconnaît tout de même à demi-mot que l’Etat intervient dans la zone pour contrôler lesdites ressources. « Il y a des mercenaires, des terroristes, des esclavagistes, qui ne veulent pas que le gouvernement, l’Etat, mette la main sur ces ressources-là ! »

Face à cette fronde, le ministre se dit déterminé à employer la force. « Le gouvernement ne lésinera sur aucun moyen ! Nous allons tout engager pour nettoyer la zone ! Nous allons engager tous les moyens pour défendre le territoire national ! Tous les moyens, je dis bien ! ».

Ahmat Mahamat Bachir refuse toutefois de préciser le nombre de forces militaires engagées pour l’heure à Miski et dans la région.

RFI

MOIS INTERNATIONAL DU LIVRE ET DE LA LECTURE : LES TCHADIENS DÉTESTENT-T-ILS LA LITTÉRATURE ?

Depuis son lancement d’ouverture le vendredi dernier par la ministre du Développement Touristique, de la Culture et de l’Artisanat, le mois de novembre qui est dédié aux livres, rien n’a été réalisé comme activité à N’Djaména.

Pourquoi ? Pourtant selon le programme, les activités devront ce déroulé depuis le lancement le 02 novembre dernier. Le même jour est prévu selon le programme vers 15h30 un documentaire audiovisuel sur la vie de Baba Moustapha à la Bibliothèque Nationale du Tchad. Mais hélas rien n’a eu lieu !

Le samedi suivant le programme, à 10h il y aura Dialogue littéraire : Littérature et Oralité (poème d’un chansonnier traditionnel) à l’université de N’Djamena. Le conférencier est Kously Lamko un dramaturge, poète, essayiste, romancier et enseignant. Et dans la soirée toujours avec Dialogue littéraire mais le thème est la corporéité de la parole, une initiation à transformer son monde sera présenté également par l’écrivain Kously Lamko.

Le constat est amer, une conférence débat autour du thème : « la corporéité de la parole, une initiation à transformer son monde »  a été suspendue faute de manque des participants. Le comité d’organisation a repoussé l’activité pour le mercredi 07 novembre à 15h à la Bibliothèque Nationale du Tchad.

Pourquoi les jeunes élèves, étudiants et les amoureux de la lecture ne s’intéressent pas à ce mois du livre ? Est-ce la sensibilisation ou les messages qui ne sont pas reçus ou c’est la méconnaissance de l’activité en question qui est la cause ? De tas de questions qu’on se  pose.

Le comité d’organisation doit sensibiliser plus ces jeunes au plus vite pour que les autres activités doivent se dérouler dans le respect du calendrier prévu et pour assurer la survie de ce festival très important peu connu du public tchadien.

« Chaque lecture d’un livre est une collaboration entre le lecteur et l’écrivain qui font l’histoire ensemble » disait GREEN, John. Si nous n’aimons pas la littérature, les livres comment allons-nous laisser une histoire dans le futur ?

 OUSMANE DIARRA

BRÈVE : UN COMMANDANT A REÇU UN COUP DE POIGNARD AU BRAS DANS UN AFFRONTEMENT AVEC LES JEUNES

Hier nuit aux environs de vingt – trois heures et quart minutes, il y avait eu un affrontement entre la police de CSP15 en patrouille et la population du quartier Boutalbagara dans le 7e arrondissement non loin du complexe scolaire « Les Frères Polycarpe ». Un affrontement auquel s’est soldé avec les blessures et les arrestations. A chaque samedi et dimanche, la population de ce quartier et ses environnants organisent une fête de danse et du jeu du hasard pour se distraire jusqu’au petit matin. Cela n’a pas plus à la police qui a voulu empêcher et s’est fait une opposition par une pluie de jet de pierres dont elle s’est vu obligée de faire un replis tactique pour effectuer de tirs de sommation afin de récupérer leurs motos abandonnées. Ces agents de sécurité étaient au nombre de huit personnes abord de quatre motos. Pour le calme, une patrouille a sillonné dans ladite circonscription jusqu’à la matinée. A suivre…

RDC: Au marché de Kinshasa, on teste la machine à voter

À Kinshasa, la Commission électorale teste ses machines à voter,  pendant que l’Union européenne tente de  renouveler ses sanctions à l’encontre de hauts responsables de la RDC. Parmi eux, Emmanuel Ramazani Shadary, le candidat à la présidence soutenu par Kabila. L’opposition tente toujours de trouver un candidat unique.

LA CASAC CONDAMNE LES PRATIQUES INHUMAINES VERS LE NORD DU TCHAD

C’est par un point de presse tenu hier 02 novembre 2018 au sein de son siège à Ndjari dans le 8e arrondissement que la Coalition des Associations de la société civile pour l’Action citoyenne CASAC a condamné énergiquement les agissements rétrogrades et inhumains posés par les esclavagistes qui sévissent dans le nord du pays.

Depuis un certain temps, le Nord du Tchad est devenu un champ de guerre et des pratiques anodines. Ces pratiques néfastes se multiplient de jour aux jours entre les concitoyens que CASAC qualifie d’inhumain : « Ces bandits de grands chemins qui font subir à leurs propres compatriotes des sévices abominables, doivent absolument répondre de leurs actes barbares devant la loi.  la CASAC dénonce vigoureusement le comportement indigne et irresponsable de certains de nos compatriotes, de surcroit activistes, imbus par leurs incivilités vis à vis des textes de la République, et  qui crachent sur la toile à longueur de la journée des messages mensongers et diffamatoires, incitant les Tchadiens à la haine et à la division » déclare  M. MAHAMOUD ALI SEID, président de la CASAC.

La CASAC ne passe pas par le dos de la cuillère pour reprocher les réseaux sociaux et de les mettre en garde de certaines diffusion des messages haineux et incitatifs à la haine.

Pour le président de la CASAC M. MAHAMOUD ALI SEID « Ces trafiquants d’esclaves, ces Terroristes, ces bandits de grands chemins, ces criminels ne pourront plus bénéficier de l’indifférence de nos compatriotes, car leurs vrais visages sont désormais dévoilés devant la face du monde ». Toutefois, il demande à tous les Tchadiens d’être vigilants pour ne pas tomber dans les pièges de ces malfaiteurs et invite le gouvernement de faire régner la justice. Car pour lui, le Tchad a besoin de la quiétude et de la paix pour s’épanouir.