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Sport: le Tchad occupe la deuxième place du tournoi CEMAC

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Sport: le Tchad occupe la deuxième place du tournoi CEMAC de nanbubo Le Cameroun a remporté, samedi soir à Yaoundé, la 2ème tournoi de nanbudo de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) en décrochant 19 des 29 médailles mises en jeu, a constaté APA sur place. Avec 17 insignes en or et 2 en argent, il devance largement le Tchad (1 or, 6 argent, 6 bronze), la République centrafricaine (1 or, 1 argent, 4 bronze) et le Burundi (10 argent), le Congo, le Gabon et la Guinée Équatoriale rentrant bredouilles de ce tournoi de deux jours. Le Cameroun, rappelle-t-on, avait déjà remporté la 1ère édition du tournoi de nanbudo de la CEMAC, tenue en 2016 à N’Djamena au Tchad.

Tchad : le premier vol du hajj 2018 prévu au 4 août prochain

Tchad : le premier vol du hajj 2018 prévu au 4 août prochain
600 pèlerins tchadiens quitteront le 04 août prochain à destination de la Mecque en Arabie saoudite pour le pèlerinage de Hadj 2018. L’annonce est faite ce dimanche 8 juillet 2018 par le président de la Commission Permanente de l’organisation du Hadj et Oumra, le Général, Idriss Dokony Adiker à son bureau sis au quartier Résidentiel dans la commune du 2ème arrondissement de la ville de N’Djaména.
Il informe que, son service informatique a déjà enregistré et transmis en Arabie Saoudite, plus de 2000 passeports en vue de l’obtention des visas, les agences de voyage agréés continuent de recevoir des demandeurs de visa et la date limite de réception des dossiers est prévue pour le 15 juillet 2018.
Selon le programme établi pour le voyage, le Général, Idriss Dokony Adiker demande aux pèlerins de l’intérieur du pays d’être à N’Djaména au plus tard le mercredi 25 juillet prochain pour les formalités de départ et les dernières formations sur la pratique du Hadj. Deux vols sont programmés par jour, les quatre mille pèlerins seront répartis en groupe de 150 personnes.
Le président de la Commission Permanente de l’organisation du Hadj et Oumra rappelle aux pèlerins que le Hadj est un voyage de 45 jours et chacun d’eux doit prendre les dispositions en tenant compte de ce délai. « Nos pèlerins seront dotés des cartes informatisées et sécurisées pour leur identification, porteront aussi des bracelets aux couleurs de leur vol pour éviter les bousculades constatées lors d’embarquement à N’Djaména et à Djeddah », souligne-t-il.
Pour ce qui concerne la couverture médicale, cinq médecins et neufs infirmiers dont cinq femmes sont déjà mobilisés avec quatre ambulances équipées pour toute éventualité et l’équipe médicale est aussi dotée des blouses marquées du logo de la commission pour être identifiables de loin.
Toutes les dispositions sont prises pour que le hadj 2018 se passe dans les bonnes conditions et des mesures strictes ont été prises également pour la gestion des flux des pèlerins tchadiens résidant en Arabie Saoudite qui viennent habituellement squatter les tentes de vrais pèlerins, rassure le Général, Idriss Dokony Adiker. « Nous avons dénombré plus de 1000 pèlerins illégaux l’année dernière », ajoute-t-il.
Le président de la Commission Permanente de l’organisation du Hadj et Oumra demande aux pèlerins de respecter les consignes et l’ordre établi par la commission de Médine, à la Mecque, à Mina, à Arafat au Rajamath pour la réussite de ce hadj pour éviter les cas de disparitions des pèlerins.

Source:ndjemenaactu

Tchad: Opinion de Dr. Djiddi Ali Sougoudi: Comment et pourquoi les agriculteurs assassinent et tuent toujours les premiers ? »Dans ces deux groupes, il n’y a pas ou peu des croyants ».

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Tchad: Opinion de Dr. Djiddi Ali Sougoudi: Comment et pourquoi les agriculteurs assassinent et tuent toujours les premiers ? »Dans ces deux groupes, il n’y a pas ou peu des croyants ».

Du conflit de Mbalkabra à celui en actualité dans le Ouaddaï avec arrestation de trois chefs traditionnels, il faut aller au Fond des choses et expliquer le modus operandi de ces histoires de crime primaire appelant un enchaînement d’autres crimes par usage de vendetta.

D’abord et très souvent, les agriculteurs se sentent toujours envahis sur leurs terres encestrales par les éleveurs jugés avec un air de condescendance. Les éleveurs, surarmés souvent d’armes à feu, ne se laissent pas intimidés par les autochtones à réactions épidermiques et souvent exagérées.

Ensuite la provocation est entretenue par les deux camps: les éleveurs toisent les agriculteurs et ceux-ci lorgnent les premiers par là torve de l’agressiVité et animosité.

Quand un animal échappe à la garde des éleveurs et entre et dévaste ou non un champ, les paysans tuent soit l’animal Soit le propriétaire. Quand un berger s’eloigne de son campement, c’est souvent la mort assurée par des agriculteurs aveuglés par la haine.

Très souvent, les bergers vont aux confins des villages pour voler du bétail ou de bêtes de traites appartenant aux paysans. Ceux-ci, confus ou haineux, s’attaquent à tout chamelier sur la simple suspicion. De nombreux innocents sont attaqués et liquidés, sans trace ni stèle pour leurs sépultures.

La pire réalité et l’innommable façon, c’est une démonstration de haine inouïe, d’acharnement contre le corps voire contre tous les biens du massacré qui n’échappe pas à la furie de ses agresseurs meme après sa mort.

Certains actes odieux et profanatoire des paysans en post-mortes sur les victimes éleveurs laissent croire que certains agriculteurs n’ont aucune croyance tant la bestiale cruauté y est grande et gratuite.

Inversement l’attaque foudroyante et disproportionnée des éleveurs qui tuent à l’aveuglette font croire aux paysans et leurs défenseurs que ce sont des hors-la-loi et des criminels nés.

La boucle de la suspicion entretenue est ainsi bouclée.

Chaque camp campe dans ses droits de tuer ou de se venger, c’est selon.

Dans ces deux groupes traditionnellement opposés de par leurs activités et mode de vie, il n’y a pas ou peu des croyants.

Ce sont des peuplades imbus de vengeance et de fierté criminelle pour les uns et de crimes lâches, gratuits pour d’autres.
A ces deux entités en belligérance perpétuelle, se greffent les ADH, les partisans de chaque camp et bonjour le travestissement de la réalité par des gens falsificateurs et manipulateurs. Chaque diable adore sa magie noire des gens pervers et criminels, parfois en meute, chassant et tuant, soit pour cacher, soit pour se venger.

Dans le dessein de mieux cacher les crimes, certains paysans vont jusqu’à découper en morceaux l’eleveur tué pour se partager les moreceaux avant d’aller les enterrer.
Rituel macabre pour se partager le crime, d’où l’imputabilité de tout crime à la collectivité par les autorités elles-mêmes dont la science administrative épouse les contours flous des traditions obscures de dia et autre empirisme de règlement à l’amiable sur fond d’interet Matériel.

Les éleveurs se mettent alors en ordre de bataille pour une punition souvent disproportionnée contre les paysans. La brutale réaction des éleveurs laissent sur place un champ de crimes, de ruines et de massacres. Encore haine qui fait suite à une haine.

Dans ces conflits agriculteurs et éleveurs, il n’y a que l’Etat qui est défaillant. Il suffit d’instaurer la cour martiale pour exécuter tout tueur ou crimines ayant semé le premier crime. Il faut aussi expliquer aux villageois et leur démontrer qu‘il n’y a pas de solidarité tribale dans un crime ou homicide. Seul sera auteur et poursuivi celui qui occasionne cette mort.

Que l’Etat fasse agir la GNNT qui est une force pour protéger les nomades, les villageois en instaurant en leur sein la confiance, la sécurité et le respect. La GNNT n’a pas pour vocation première de jouer la douane. Son rôle c’est d’être au service des nomades et de leurs différends avec les autres.

Il faut désarmer tous ces éleveurs armés mais aussi retirer toutes les armes blanches très redoutables des paysans. C’est l’obligation de l’Etat. Il faut rendre la justice prompte et vigoureuse dans la gestion des conflits agriculteurs- Ekeveurs.

Dr Djiddi

#TCHAD #Labarko #Littéraire  : Labar de « La vitrine de l’Afrique »

#TCHAD #Labarko #Littéraire  : Labar de « La vitrine de l’Afrique ».

La lettre N°7 de Djiddo à Papou (Salah Habré)

Salam mon  cher papou, Aïd Moubarak Wa koulou sana inti bill kheir. C’est encore et toujours moi Djiddo, ton ami et frère de toujours depuis la fameuse « vitrine de l’Afrique », là où le plus grand voleur d’Afrique fait jurer les petits voleurs au lieu de jurer lui-même. Comme quoi le ridicule ne tue plus ici.

Toujours présent, et à l’heure pour N’djamena-Midi au carrefour national de Abba Boullama. Labar fi ! Moon frère, toi il faut jurer avant de lire ma lettre. Lol… Une heure de temps après avoir juré de ne pas voler, Ministre Arnab est passer au carrefour de Abba Boullama pour nous dire : « Ana da sur place bess, je dis ASTAFROULAH. Hou khali yi yalif ké. Yatou mouchotine ». Halifine ma heyin, la la ma heyin.

« En fait disons… » la quatrième rue-public est passée comme une lettre à la poste. Nos fameux députés dormeurs ont été réveillés pour soulever la main aller à l’assemblé national. Certains députés ont même soulevé deux mains. Idenoum tenin foook !! Dans « la quatrième rue-public » d’Alberto il n’y a plus d’argent pour payer les fonctionnaires. Pour endormir les fonctionnaires, il veut les payer en nature. On ne sait pas encore, comment il va faire avec les nouveaux fonctionnaires qui comptaient sur leurs salaires pour se marier. C’est le Ahmar yakoul azarak de Alberto.

Lorsqu’on a demandé au député Bachom pourquoi il a voté « Pour ». Il a répondu : « ana da chokhol MPS (mouvement de prostitués et des soulards) yi dora da bess ni sey ». En fait disons… le premier gouvernement de la quatrième rue-public est déjà parti. Même jurer ne sert à rien dans la « vitrine de l’Afrique ». Hey tra ! comme disent nass Carrefour Abba Boullama : « Être dans le gouvernement, c’est comme être en connexion sans VPN ». Ministre Mounafikh aussi est éjecté par la fenêtre après avoir escaladé le mur pour rentrer dans le gouvernement.

Ici le gouvernement change plus vite que la couleur de Kaftan de Alberto. Avec tout ça, les Doungourou vont encore aller voir tout genre de charlatans et enterré des chiens noirs vivant, pour devenir ministre pour quelques semaines. Au pays de En fait disons, comme disait d’aucun : « les ministres sont nommés par accident et maintenus par oubli. »

Le pays est à terre. Les étudiants sont toujours en grève, toutes les universités sont fermées.

Il parait que Alberto a dit que désormais y’aura plus d’intégration. Il demande aux étudiants qui sont : » Fils de cultivateurs, de retourner au village cultiver les champs ; Au Fils de pêcheurs, il leurs a dit que le lac Tchad n’est pas encore tari, qu’ils peuvent aller pêcher ; Quant au fils de militaires que Boko Haram et Aqmi les attendent. » Au moment ou dans les pays voisins, ceux sont le meilleurs élèves qui sont boursiers et/ ou envoyés dans les prytanées, ici ceux la deuxième génération de « Atraber de bou » qui y va.

Les Djahilophones arrogant ont oublié qu’ils sont le fruit de l’école publique d’entant qui a formé les meilleurs élèves du pays. Dans « la vitrine de l’Afrique » on a même vu des licencier qui ne savent pas dans quelle université ils ont étudié. Ils ont des docteurs, ici. Mais lorsqu’ils sont malades, particulièrement s’ils sont issus de la classe de Ousra ou celle de la Djahilphonie Arrogante du mps (mouvement des prostitués et des soulards), dépendant de la somme détournée et du pays dans lequel ils ont investi. Lorsqu’ils ont un compte en France, ils atterrissent à Paris ; Lorsqu’ils ont un immeuble en Egypte, ils atterrissent au Caire ; Lorsqu’ils ont une villa au Canada, ils atterrissent à Montréal ; Et s’ils ont un compte aux USA, ils atterrissent à Washington. Et récemment que les soudanais évoluent dans le domaine de la santé, ils atterrissent à Khartoum
Et finalement que les sénégalais excellent dans la santé ils déposent leurs valises à Dakar.

Au même moment les enfants et les femmes continuent de mourir à l’hôpital de « la mère ou de l’enfant ». Quant aux vieux et jeunes ils meurent comme des mouches à l’hôpital de « l’Indifférence National ».

« En fait disons… » dans « la vitrine de l’Afrique » c’est aux hyènes qu’on a remis la garde des moutons. Dans « la vitrine de l’Afrique », ils continuent de balayer les escaliers de bas vers le haut. Et les Djahilophones continuent d’intégrer la fonction publique avec des extraits de naissances comme diplômes. Quant à Alberto pour faire semble d’être en paix avec le diable qui le ronge, à chaque fois qu’il montre sa tête bizarre à la télé, il affiche longuement ses 52 dents taillées après 1990. On appel çà, le maquillage dentaire. Il s’en fiche du peuple et du malheur dans lequel il les a mis. Ils ont aussi bu tout le pétrole, et maintenant ils ont mis en vente la jeunesse tchadienne comme cher à canon aux Khalidjines. A ce rythme on risque de se réveillez un jour dans un Tchad vendu et que le nouveau propriétaire nous demandera de quitter les lieux.

Nadoumak, le Général Bournouk et son ami Ngamiri sont là, ils passent leur temps à faire le tour des hôpitaux du monde, de Paris à Dubaï en passant par la Jordanie, le Caire et Tunis. Ils sont atteints de la maladie de nos détourneurs nationaux. Ils sont toujours sous un arbre sur la route de Dougouya avec leurs gourdes tels des écoliers à attendre les vendeuses de lait frais. Chez eux le frigo est plein de poulets et poissions mais c’est Djim que Allah a béni avec le frigo. Linngui hana tchadiens ma heyi, la la ma heyin.

« En fait disons… » Kadab aussi est encore vivant. Il est informé sur tout mais cultivé sur rien. Au lieu de rester tranquille, il voulait se faire l’avocat de « nass La Paix Chèrement Acquise », mais nass Carrefour de Abba Boullama l’on mis à la une de N’djamena-midi comme quoi, il est aussi membre du club de nos FDN (Faux Diplômé Nationales). Haraya ma yinsada be tabak tra !!!

Inspecteur Kalama-Tinen a fait un semblant d’audit dans certains ministère et directions pour dire c’est que tout le monde sait déjà. Mais quand Alberto a vu le nom de Bournouk, Guirguid,Ngnamiri… il a dit à l’inspecteur : « Donc sur la prochaine liste c’est mon nom que tu vas mettre ? » Audité un pays sous le régime de mouvement des prostitués et soulards, ma heyin, la la ma heyin!

Ton cousin Abdou aussi te passe le salam, il est en mode sourire sabro-16 -mesurettes. Même quand on lui dit bonjour il répond : amen… Mon cher frère Papou, mes chaleureuses salutations, portes-toi bien d’ici là et à la prochaine. Ton frère Djiddo depuis la fameuse « vitrine de l’Afrique ».

Par Salah HABRE (via Facebook)

Tchad : début de l’enrôlement biométrique des candidats au Hajj 2018

Tchad : début de l’enrôlement biométrique des candidats au Hajj 2018

L’enrôlement biométrique des Tchadiens candidats au pèlerinage aux Lieux saints de l’islam pour l’édition 2018 a démarré ce vendredi, a constaté APA sur place à N’Djaména, la capitale tchadienne.
Au service informatique de la Commission permanente pour l’organisation du Hajj, les agents s’activent à traiter les passeports qui leurs ont été transmis pour les envoyer en Arabie Saoudite pour les visas.
« Cet exercice évitera à nos pèlerins les désagréments de dernières minutes et leur permettra de se préparer aisément pour la phase d’embarquement. Notre engagement est d’éviter les bousculades et autres peurs. Tout le monde sera traité avec dignité, amour et respect. Les pèlerins sont des élus de Dieu, les servir est un honneur pour chacun », a expliqué à APA un membre de l’unité informatique.
Sur un quota de 9 000 pèlerins accordé au Tchad, le comité d’organisation a choisi de n’envoyer que 4 000 pour éviter les désagréments enregistrés lors des Hajj précédents. Chaque pèlerin tchadien doit débourser 1 550 000 FCFA pour accomplir le pélerinage, cinquième pilier de l’Islam.
D’après un membre du comité du Hajj la somme de 1 550 000 FCFA prend en compte le coût du billet d’avion aller-retour N’Djaména-Médine-N’Djaména, le transport terrestre entre Médina, Mecque, Mina et Arafat. Une fois sur place, les pèlerins tchadiens auront un séjour de trois jours à Médina, un mois à la Mecque, 4 jours à Mina et un jour à Arafat.
« Cette année, les pèlerins Tchadiens seront transportés par Ethiopian Airlines, cela nous permettra de respecter un programme bien clair au départ comme au retour », rassure-t-on à la commission permanente.
Apa

Tchad: Opinion libre de Dr.Djiddi Ali Sougoudi  » Sodomisation des règles élémentaires de la constitution du Tchad ».

Tchad: Opinion libre de Dr.Djiddi Ali Sougoudi  » Sodomisation des règles élémentaires de la constitution du Tchad »
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Ahmat Bachir, mon fameux Ministre de la Sécurité ne sait pas lire entre les lignes de la Constitution de la 4ème République qu’il piétine avec une allégresse et insouciance déconcertante !! Sinon comment comprendre qu’une haute autorité sécuritaire du pays puisse embastiller des chefs de canton qui doivent payer un crime non commis par eux?

Trois dignitaires traditionnels du BET sont en prison à Abeché, cela sans jugement et pour une affaire de meurtre commis par autrui.

Pour réveiller les neurones tarées du Ministre Bachir, voici deux articles de la Nouvelle Constitution qui, sûrement, n’ont jamais été lus par notre bravache Bachir d’un niveau intellectuel faible compensé par des frasques quotidiennes:

Article 26 : La peine est personnelle. Nul ne peut être rendu responsable et poursuivi pour un fait non commis par lui.

Article 27 : Les règles coutumières et traditionnelles relatives à la responsabilité pénale collective sont interdites.

Pour un cours magistral de Droit opposable au super Ministre et super flic en déshérence et errance juridique, voici un autre article du code pénal:
Article 1382 du code pénal: tout fait quelconque de l’homme qui cause à autrui un dommage oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer.

Revenons à l’histoire qui mena à l’Arrestation de deux chefs, Mahamat Adi Abdallah Kebir et de Oumar Sidi Sougoumi ainsi que d’un autre chef de race représentant d’un autre Chef de canton.

Tout est parti d’un chameau entravé qui se nourrissait sur un arbre, non loin d’un village ouaddaïen. Le propriétaire, un jeune pastoureau, vint récupérer son méhari lorsqu’il fut pris en altercation par les autochtones qui reprochait au berger d’avoir laissé son chameau brouter un arbre qui n’est pas un champ de mil ni d’arachide. Le berger répliqua que son chameau n’a commis aucun dégât et l’arbre n’appartenait qu’à Dieu.

Ce qui offusqua les autochtones qui l’attaquerent. Le berger se défendit tant bien que mal mais fut tué finalement à coups de machettes, de flèches et de massues.
Au décours de l’esclandre, le berger atteignit mortellement deux autochtones. Une fois le berger tué, les villageoise s’acharnerent Contre son cadavre qui sera desarticlé, trituré puis écrasé en bouillie à l’aide d’une voiture. Le corps en bouillie fut retenu en un autre délit de recel de cadavre. Meurtre, profanation de cadavre et recel de cadavre, une suite de délit juridiquement demontrable.

Les chefs traditionnels autochtones et ceux de l’Ennedi se retrouvent pour un règlement à l’amiable.
L’autorité publique, devant intervenir pour aider au règlement du conflit, se perd en conjonctures juridico-traditionnelles moyenâgeuses, quasi obscènes, en exigeant la dia aux allogènes pour calmer les autochtones. Ce qui est une bourde sanctuariséee au Tchad que de toujours parler de dia, une façon obtuse et séculaire de réparer les crimes de sang au cours desquels les criminels ne goutent jamais les geôles.

Alors que les discussions étaient en cours, des jeunes parents et collatéraux du berger écrabouillé par une voiture sciemment promenée sur son corps sans vie, en réaction à la profanation du cadavre donc, attaquèrent les autochtones et comble du regrettable, il eut d’autres morts. Bachir entra dans la danse, proférait des injures et aurait réclamé une dia de 14 personnes avec en réclamation d’orgue d’autres crimes antérieurs qui ne font surface que dans son insondable parti-pris flagrant.

Pour moi, il est inadmissible pour les allogènes de verser du sang de nombreux tchadiens pour venger un frère tué et profané dans son cadavre. Il est aussi inadmissible d’arreter des chefs traditionnels pour leur imposer des dias ou pour les faire supporter des crimes commis par leurs ouailles. La peine est personnel et non collective. L’autorite Publique doit chercher ces jeunes massacreurs pour qu’ils répondent de leur acte de tuerie massive. Les autochtones coupables doivent aussi répondre de leurs actes de profanation et recel de cadavre.

Le Ministre Bachir, fut-il originaire du Ouaddaï, ne doit pas se comporter avec passion et parti pris. Il doit être au dessus de la mêlée en appliquant la stricte loi et en respectant la constitution qui interdit la collectivisation des faits délictueux commis par d’autres personnes.

Les chefs de canton sont intervenus pour chercher la cohésion sociale en voulant régler le différend et ils ne seront pas comptables des délits et des crimes de leurs administrés traditionnels.

Je demande la libération de ces chefs et la poursuite des autres odieux criminels quï ont massacré mes parents, les ouaddaïens.

C’est cela le droit et rien d’autre!

Alors arrêtons de sodomiser les lois de la république et arrêtons aussi ce cretinisme juridique et empirique dont semble raffoler le fameux ministre de la Sécurité.

Dr DJIDDI

TCHAD: La banque UBA va lancer son produit Leo, le banquier virtuel et révolutionnaire

TCHAD
La banque UBA va lancer son produit Leo, le banquier virtuel et révolutionnaire
La banque UBA Tchad s’apprête à lancer officiellement ce mardi 26 juin 2018 son produit Leo qui contribuera à changer la physionomie de la banque digitale. L’introduction de Léo, banque virtuelle d’UBA, permettra aux clients d’utiliser leurs comptes de réseaux sociaux pour effectuer des transactions bancaires.

C’est pour la première fois qu’une institution bancaire en Afrique propose une telle solution pour simplifier la manière dont les clients effectuent des transactions. Avec le lancement du Chat Banking, les clients pourront ouvrir de nouveaux comptes, recevoir des notifications de transactions instantanées, vérifier leur solde en déplacement, transférer des fonds et recharger leur compte. Ils pourront également confirmer les chèques, payer les factures pour les prêts, geler les comptes et demander des relevés.

Le lancement de Leo s’inscrit dans le cadre d’une initiative visant à mettre les clients de la banque au premier plan, en développant continuellement des stratégies visant à faciliter les transactions pour tous les utilisateurs, tout en garantissant la sécurité de ces transactions.

#UBA

#leo

Tchad: Nomination au Ministère des Finances et du Budget (partie 2)

 

Tchad: Nomination au Ministère des Finances et du Budget (partie 2)

Au terme du Décret N°1339,les personnalités dont les noms  suivent sont nommés à des postes au ministère des finances et du budget :

Direction générale des impôts
Direction des grandes entreprises : Madame Hadjé Zara Adjidei
Adjoint : Ahmat Djigoudga

Direction des petites et moyennes entreprises 
Directeur : Flavien Ali Tobio
Adjoint : Idriss Hassan Sidi

Direction des recherches et de la vérification
Directrice : Rihab Mahamat Ali
Adjoint : Korom Acyl Dagache

Direction des études, de la législation et du contentieux
Directeur : Adam Mahamat Hassan
Adjoint : Kainba Benjamin

Direction générale des domaines
Direction des domaines, de la conservation foncière et de l’impôt foncier :
Directeur : Abakar Siddick
Adjoint : hassan Mahamat Haran

Direction de l’enregistrement et du timbre
Directeur : Amadi Teiro Issa
Adjoint : Brahim Mahamat Aguid

Bureau de gestion et du recouvrement des avoirs saisis et confisqués
Chef de bureau : Mahamat Hissein Madani Hassan

Direction générale du Trésor et de la comptabilité 
Direction de la comptabilité publique Directeur : Mahamat Hassan Kodji
Direction de la dette Directeur : Djimi Abdallah Eguermi
Adjoint : Adoum Saleh

Direction des affaires financières, monétaires et de la supervision des établissements de micro-finance 
Directeur : Moussa Kosseimi Daoud
Adjoint : Mahamat Kebir Abdoulaye

Direction nationale des assurances 
Directeur : Mahamat Ibrahim Koussi
Adjoint : Béchir Chegue Agui

Trésorerie payeur général
TGP : Souleymane Adam Haroun
1er fondé de pouvoir : Abdelmadjid Lagrey Ahmat

2ème fondé de pouvoir
Mahamat Saleh Nour

Direction générale des douanes et droits indirects et du contentieux 
Direction des études et de la législation douanière
Directeur : Younous Hissein
Adjoint : Ali Malla

Direction de la surveillance et des répressions de la fraude 
Directeur : Moussa Ali Dogoro
Adjoint : Abderahman Tom Hamid

Direction du dédouanement du bétail 
Directeur : Brahim Djamous
Adjoint : Moubarak Moussa

Direction de la comptabilité et des statistiques du commerce extérieur
Directeur : Ballah Djaba
Adjoint: Idriss Djibia

Le ministre des finances et du budget est chargé de l’application du présent décret qui abroge toutes dispositions antérieures contraires, et prend effet à compter de sa signature.

Tchad: nomination au Ministère des Finances et du Budget

Tchad: nomination au Ministère des Finances et du Budget

Au terme du Decret N°1338, les personnalités dont les noms suivent sont nommés à des postes de responsabilité au ministère des finances et du budget :

Direction générale du ministère
Direction du contrôle financier : contrôleur financier adjoint, Yahya Ali Hassan

Direction des systèmes informatiques
Directeur : Ahmat Abderahmane
Directeur adjoint : Mahamat Nour Chaltout

Direction des affaires juridiques
Directeur : Ousmane Ouzibé
Directeur adjoint : Mahamat Issakha Haroun

Cellule de réflexion et des réformes
Coordonnateur : Aboubakar Malloum Goni
Coordonateur adjoint : Bénoudji Volonté

Cellule de communication
Chef de la cellule : Khayay Adam Abakar
Adjoint : Biakabo André

Force d’appui aux régies
Coordonnateur : Colonel Ousmane Adam Diki

Secrétariat technique du PAMFIP
Coordonnateur : Oumar Ousman Brahim
Coordonnateur adjoint : Abakar Saleh Zène

Direction de la centralisation des achats groupés
Directeur : Souleymane Abakar Abdaramane
Direction des ressources humaines : Directeur : Ahmat Mahamat Issa

Inspection générale des finances
Inspecteur général des finances :
Gariamal Mokengar ;
Mahamat Nour Angaré ;
Dallah Djimbi ;
Natongar Kago Kangro ;
Awad Hissein Mahamat ;
Abderahman Ismail Chiboro ;
Cherif Moustapha Mahamat Zene ;
Mogbé Djimassingar

Direction générale du budget
Directeur des études et de la prévision
Directeur : Saleh Idriss Goukouni

Direction de l’élaboration et du suivi budgétaire 
Directeur : Amadou Djaro
Directeur adjoint : Mahamat Goudja Saleh

Direction des investissements
Directeur : Abakar Doungouss

Direction de la solde
Directeur : Mahamat Abderahmane Oumar
Adjoint : Madame Baissané Netarompta Dambaye

Caisse nationale des retraités du Tchad
Directeur : Ahmat Moustapha Mahamat
Adjointe : Fatimé Brahim Nakour

Agent comptable :
Zoual Ahmat Hissein

Le ministre des finances et du budget est chargé de l’application du présent décret qui abroge toutes dispositions antérieures contraires, et prend effet à compter de sa signature.