Plusieurs standings des startups ont pris d’assaut la terrasse de Wenaklabs dans la nuit d’hier 26 juillet 2019. Avec pour contextes majeurs les problèmes de l’innovation des NTIC (Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication).
Depuis 2014, cet espace de vie conviviale a permis à plusieurs jeunes promoteurs et/ou porteurs de projets de mettre sur pied leurs startups ici au Tchad. Un tour dans les stands nous permet de découvrir ces startups innovantes. Des services traiteurs, les ventes des produits cosmétiques le e-restauration, dans le renforcement des capacités sur l’éducation et l’encadrement des enfants faibles à l’école et des chaines de restaurations rapides ainsi que les énergies renouvelables. Il est possible de remédier à bon nombre de problèmes. Raison pour laquelle, par le simple constat que seulement 6,4% de la population tchadienne a accès à l’électricité, cela a incité les jeunes à mettre sur pied kouran jabo qui vient compléter et faire profiter à la population à moindre coût.
Akhbar bébé par contre met sur pied une application mobile qui permet de déclarer un nouveau-né. Sachant que près de 500 000 jeunes bébés qui naissent n’ont pas d’acte de naissance, pour eux, il faut impérativement cet outil qui est le téléphone mobile et qui demeure l’ami proche de l’homme permettre à de résoudre ce problème. Kari Dari vient incuber dans le programme le marathon du sahel avec la production des produits cosmétique à partir de beurs de karité.
Alors que Taleta vient renforcer le niveau des élèves en leur offrant une chance de réussir, N’djamena food quant à lui offre un partenariat fort avec une chaine de restaurant rapide.
Le centre de formation et d’études pour le
développement (CEFOD) a servit un cadre de présentation d’un ouvrage littéraire
intitulé « Tchad, notre bel enfer ». Edité aux éditions Toumaï, ce
chronique paru en juin 2019 est pour l’auteur une manière de dénoncer les
violations des droits humains depuis l’indépendance du Tchad en 1960 jusqu’à
nos jours avec le régime de Deby.
L’activiste
et défenseur des droits humains Dobian Assingar, à travers son ouvrage
« Tchad, notre bel enfer », dénonce les dérives des différents
régimes politiques qui se sont succédés depuis 1960 avec le premier président
de la République François Ngarta jusqu’au régime de Deby avec la démocratie et
la liberté. La violation massive des droits humains, la culture de l’impunité… sont
au tant des maux décriés par l’auteur dans cet ouvrage de 502 pages subdivisé
en 7 chapitres.
Après
un bref rappel des régimes politiques, Dobian Assingar met un accent
particulier sur le rôle permanent de la France, de la Libye et du Soudan dans
les différents conflits meurtriers du Tchad de l’indépendance à nos jours.
Pour Dobian Assingar, les massacres dont sont victimes les populations tchadiennes depuis l’ère de la démocratie sont des actions accompagnées, installées et conseillées par la DGSE française. Dépassent très loin le cadre de crime contre l’humanité. « Les cimes et autres tragédies, les tchadiens vivent ces horreurs au quotidien dans leur corps, dans leur âme et dans leur conscience », souligne l’auteur Dobian Assingar.
« Tchad, notre bel enfer », vient conseiller aux tchadiens que d’après tout, le Tchad reste un patrimoine commun. C’est pourquoi l’auteur s’interroge à l’épilogue de son ouvrage en ce terme « de profite les crimes au Tchad ? ». Pourquoi fuir devant nos responsabilités en laissant dernière nous ce patrimoine commun que nous aimons de toutes nos forces et de tous nos cœurs ? »
« Que nous vivions un enfer
ou pas, le devoir nous impose de résister. Résister pour apporter notre
contribution à la construction de notre pays, aux côtés bien sur de ceux qui
nous persécutent et font de nous des sans-droits dans notre pays », martèle-t-il ?
Qui est Bobain Assingar ?
Un
maitre jack. Dobian Assingar a suivit plusieurs formations dans des différents
domaines. Comptable de formation, l’auteur est tutélaire d’un DSSE au Centre d’Etudes financières, Economiques
et Comptables de Paris, d’un diplôme de Pilotage obtenu à l’école de Pilotage de
Dijon Longvic et de plusieurs certificats en gestion-comptable, en journalisme,
en passation des marchés et en justice internationale.
Comme
défenseur des droits de l’homme, Dobian Assingra fut président de la Ligue
tchadienne des droits de l’homme (LTDH), vice-président de la fédération
internationale des ligues des droits de l’homme (FIDH) et actuellement
président d’honneur de la LTDH et le délégué permanent de la FIDH auprès de la
CEMAC. Il fut aussi le tout premier directeur de la radio FM Liberté et a
dirigé l’administration financière de l’office national pour le développement
rural (ONDR) avant d’aller en retraite.
Le Gouverneur de la Banque des Etats de l’Afrique Centrale (BEAC) Abbas Mahamat Tolli a présidé hier 25 juillet la 11ème réunion annuelle de concertation du Président de la Commission Bancaire de l’Afrique Centrale, avec la profession bancaire et financière la CEMAC.
Cette réunion est selon le gouverneur une opportunité
d’échanger des points de vue sur divers thèmes se rapportant aux cadres tant
réglementaire qu’opérationnel de l’exercice des activités liées au renforcement
du système bancaire de la zone.
Abbas Mahamat Tolli relève qu’au cours du premier
trimestre 2019, le ralentissement de l’activité économique mondiale observé au
second semestre 2018 s’est poursuivi, dans un contexte marqué par la
persistance des tensions commerciales entre les Etats-Unis et la Chine, la
baisse de la confiance des entreprises et des consommateurs, la chute des
échanges et de l’investissement, en particulier en Chine et en Europe, et les
incertitudes entourant l’action des pouvoirs publics dans la plupart des
grandes économies.
« D’après les estimations du FMI, la croissance économique mondiale
s’établirait à 3,3 % en 2019 et 3,6 % en 2020, contre 3,6 % en 2018, soutenue
essentiellement par la vigueur des pays émergents et en développement, en
particulier la Chine et l’Inde », a-t-il indiqué.
Au niveau sous-régional, l’activité économique des pays membres tirerait profit en 2019 de l’augmentation de la production pétrolière et du dynamisme du secteur non pétrolier, conjugués avec la poursuite des réformes macroéconomiques et structurelles par les Etats de la Sous-région. Le taux de croissance
Pour Abbas M.T., le taux de croissance s’établirait à 3,0 % contre 1,6 % en 2018 ; les tensions inflationnistes resteraient maîtrisées à 2,5 % ; et le solde budgétaire, base engagement, hors dons, se situerait à 0,4 % du PIB. « Par ailleurs, en dépit du creusement du solde extérieur courant à -6,1 % du PIB en 2019, après -3,4 % du PIB en 2018, le taux de couverture extérieure de la monnaie s’élèverait à 68,6 % en 2019, contre 61,3 %, et les réserves officielles couvriraient 3,3 mois d’importations de biens et services », a-t-il précisé. Tout en ajoutant qu’au niveau du système bancaire, les indicateurs d’activité et de performance, bien qu’en régression depuis quatre (4) ans, amorcent une nette reprise, avec une hausse du total bilan de 7,36 % au 31 mai 2019, par rapport à son niveau un an plus tôt. « Il en est de même des dépôts de la clientèle, qui augmentent de 7,26 %. Les crédits bruts, a contrario, sont quasiment stables. L’excédent de trésorerie qui en découle est en forte augmentation de 35,31%, en rapport avec le rapatriement significatif des avoirs extérieurs », a renseigné le gouverneur de la BEAC, Abbas M.T.
« Toutefois, à la même date,
la qualité du portefeuille de crédits demeure préoccupante. Les créances
immobilisées se sont accrues de 30,26 %, tandis que les créances douteuses sont
en augmentation de 9,38 % ».
Le produit net bancaire (PNB) de l’ensemble des 51 banques
Le produit net bancaire (PNB) de l’ensemble des 51 banques en activité dans la CEMAC (en dehors des banques en liquidation) a augmenté de 5,05 % sur la base des données provisoires. Quant au résultat net, il est en hausse de 3,53 %. Et sur plan prudentiel, sur les 51 banques en activité, seules 26 banques disposent de fonds propres nets suffisants, contre 27 un an auparavant, pour respecter l’ensemble des normes prudentielles assises sur cet agrégat.
Des sanctions pécuniaires applicables aux personnes morales et physiques
assujetties à la COBAC.
Sur cette question, le gouverneur de la BEAC, Abbas MT
a insisté sur l’adoption des sanctions pécuniaires applicables aux personnes
morales et physiques assujetties à la COBAC.
Au regard de l’augmentation du nombre
d’établissements en infraction, la persistance et la récurrence presque
cyclique de certains manquements ainsi que les délais relativement longs pour
rétablir la conformité à l’égard de la réglementation en vigueur, ont conduit
le superviseur à légiférer sur cette matière. « Sur cette base, de nouvelles dispositions permettront de
renforcer le régime des sanctions disciplinaires en augmentant « le coût de la
non-conformité », afin de contraindre plus efficacement les établissements à se
conformer en permanence à la réglementation », insiste Abbas MT.
La COBAC a quant à elle entrepris des réformes sur
plusieurs textes réglementaires notamment sur la protection des consommateurs,
les normes de gestion et de reporting sur base consolidée suivant le
référentiel IFRS, ainsi que les modalités d’intervention et l’opérabilité du
FOGADAC.
Elle a continué de suivre avec vigilance la qualité
des portefeuilles et les expositions des banques dans une conjoncture pleine de
risques. La commission (COBAC) continuera de veiller à l’application de la
réglementation tout en respectant le droit à la défense des établissements de
crédit.
« En tout état de cause, la COBAC fera preuve de fermeté vis-à-vis
des récidivistes. J’en appelle donc au devoir de responsabilité et
d’exemplarité de tous les dirigeants des établissements de crédit dans la CEMAC », a lancé le premier responsable de la BEAC, Abbas MT.
« Crise et
fonds propres des établissements de crédit de la CEMAC La réglementation
des fonds propres exige que les établissements de crédit disposent, en quantité
et en qualité, de fonds propres en rapport avec le niveau de risques encourus.
Or, les turbulences de ces dernières années, consécutives à l’effondrement des
cours des matières premières dont le pétrole, marquée par une contraction du
PIB de l’ensemble des Etats membres de la CEMAC, ont eu pour effet une
dégradation de la qualité du portefeuille et des performances des banques, avec
des conséquences délétères sur leurs fonds propres.
« La cybercriminalité dans les établissements de crédit de la CEMAC ».
Le développement des réseaux de communication, la
généralisation d’internet, de même que l’accès facilité aux informations
sensibles au sein des entreprises, ont suscité l’émergence d’un cyber espace où
l’industrie bancaire est particulièrement exposée.
En effet, de par son activité de collecte de
ressources et d’offre de moyens de paiement, le secteur bancaire est une cible
privilégiée de la cybercriminalité. « Dans
le cas particulier de la CEMAC, l’impact de ce phénomène est croissant et de
plus en plus préoccupant, comme en témoignent la multiplication des pertes
opérationnelles enregistrées par certaines banques de la sous-région », a fait
constater le gouverneur.
« Les diligences relatives à la lutte contre le blanchiment des capitaux
et le financement du terrorisme dans la nouvelle réglementation des changes».
Cette thématique est d’une importance capitale avec
les opérations devl’extérieur, représentent une importante proportion du PNB
agrégé des banques de la CEMAC. La base peu diversifiée et le caractère
extraverti des économies de la sous-région placent les relations bancaires au
cœur du dispositif de couverture des importations et des transferts. Or les
contrôles de la COBAC ont mis en évidence des manquements récurrents et graves
dans l’exécution de ces opérations, plus particulièrement dans le domaine de la
lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme.
« Par ailleurs, le laxisme observé jadis dans l’application de
l’ancienne réglementation des changes a mis en lumière des comportements
déviants, privilégiant l’objectif de rentabilité au mépris de l’impératif de
conformité. Il est donc judicieux que nous fassions un focus sur les diligences
requises de LAB/FT, prévues notamment dans la nouvelle réglementation des
changes », rassuré Abbas MT.
Ces échanges au cours de cette rencontre visent la
stabilité bancaire et financière dans la CEMAC.
L’écrivain Zirrino Haroun de nationalité tchadienne résident en Suisse a présenté ce jeudi 25 juillet à la maison des média du Tchad, son tout premier ouvrage de 161 pages préfacé par Mahamat Nour Ibedou, l’un des acteurs de la société civile tchadienne. Ce livre est intitulé « La volonté de changement au Tchad ».
Composé de sept (7) parties ou comme l’appel l’auteur, sept(7) « textes de protestation réunis » pour emprunter les termes utilisés en sous-titre à la première page de la couvertures, de l’ouvrage. A travers ce livre, l’auteur se veut présenter de manière sombre et alarmante la situation du Tchad sous le régime actuel depuis 28 ans où règne une gouvernance calamiteuse caractérisée par la corruption, la concussion, la malversation et le népotisme, a fait souligner l’auteur.
Pour l’auteur, c’est depuis 28 ans que le règne actuel est fondé sur la violence, l’arbitraire, l’autoritarisme et la mauvaise gouvernance, malgré le mirage du pétrole qui n’a servi à enrichir quelques individus privilégiés. « Les Tchadiens n’ont jamais appréhendé une seule fois d’une lumière susceptible de rendre le Tchad, habitable dans des relations de respect de chacun et de soi », constate Zirrino Haroun.
Il souligne en passant pour dire que « les tchadiens ont une vision pessimistes de leur Etat en crise, en mal profond », l’auteur renchérit par ailleurs, pur indiquer que l’autre mal qui s’est installé durablement aux profonds de l’inconscient collectif des tchadiens, « c’est la déception politique, autrement dit la gouvernance marquée par des crises successives, qui ont rendu le aujourd’hui Tchad malade », observe-t-il.
Pour, Zirrino Haroun, « le Tchad
ressemble à un navire en détresse de chavirer. Son équipage, impuissant,
incapable de le redresser, le voit aller
vers une naufrage, sans que personne et rien ne puisse l’en empêcher.
Économiquement, socialement et démocratiquement, allant de crise en crise dans
une confusion de crises qui
s’accumulent, perd ses repères et aucune force ne semble capable de
dénouer la catastrophe », a-t-il ajouté.
L’office national des examens et concours du supérieur (ONECS) annonce les résultats de la première série des épreuves écrites du baccalauréat session de juillet 2019 ce jeudi 25 juillet. Mais les statistiques publiées n’atteignent les attentes comme l’aurait souhaités le ministre de l’enseignement supérieur Dr David Oudeïngar le jour de lancement des épreuves. Un taux de réussite de 26,00% à la première série des épreuves écrites.
« Toutes les conditions nécessaires sont réunies pour que les élèves réussissent. Nous attendons de ce bac certainement des résultats à la hauteur des enseignements reçus ». A lancé le ministre Dr David Oudeïngar Ngarimaden. Mais qu’est-ce qui se passe-t-il ? Sur les 83 141 candidats qui ont composé la première série des épreuves écrites, seulement 21 615 candidats déclarés admis d’office. Soit un pourcentage de 26,00%, 20 106 sont appelés à composer la deuxième série des épreuves dans les prochains jours soit un taux d’admissibilité de 24,18%.
Les 41 420 candidats sont appelés à revenir l’année prochaine. Quelles catastrophe ? C’est dommage mais le courage les aidera à revenir pour les neuf (9) prochains mois de cours.
De 2014 à 2019,
Ce taux de 26,00% de réussite cette année 2019 est légèrement au dessus de l’année 2018 où le taux de réussite était à 22,06% à la première série des épreuves écrites et a grimpé à 38,63% à la deuxième composition des épreuves.
La session de 2017 sur un effectif de 71 894 candidats qui ont composé, 27 859 ont été déclarés admis soit 38,80% de taux de réussite
En 2016, sur les 77.142 candidats qui ont composé, 15.302 sont déclarés
admis d’office tandis que 17.045 sont appelés à composer une nouvelle série soit
un taux de réussite final de 41,89%.
En 2015 au total 28 048 candidats ont été admis en cumulant les deux sessions, soit un score final de 35, 67 % de réussite. Et la session de 2014 a enregistré un taux de réussite de 18,47%, Sur les 76.433 candidats soit 14.118 sont déclarés admis.
A
l’accoutumé, l’UNESCO met à jour sa liste du Patrimoine mondial chaque année.
Il recense des monuments et sites remarquables, un classement qui implique une
notoriété nouvelle pour les biens concernés, mais aussi des obligations.
A la 43ème session
annuelle, le comité du Patrimoine mondial de l’UNESCO a choisi un pays de
contrastes : l’Azerbaïdjan. Dans la vieille ville de Bakou où sont tous classés
par l’organisation les ruelles, le Palais des Chahs de Chirvan et la tour de la
Vierge qui date du XIIe siècle.
Les membres du comité ont actualisé
la liste des monuments et sites protégés. Ils ont fait un état des lieux des
sites inscrits sur sa liste et se sont prononcés sur de nouvelles candidatures.
Cette année, sur 37 sites proposés,
29 ont été retenus pour être labellisés « Patrimoine mondial » du fait
de leurs caractéristiques culturelles et/ou naturelles. Parmi eux, Babylone,
une ancienne citée située sur l’actuel territoire irakien. Témoignage unique de
l’un des empires les plus influents du monde antique.
Abulfas Garayev, ministre
azerbaïdjanais de la Culture dont le pays figure sur la liste du Patrimoine
mondial notamment pour le Palais du Khan à Sheki qui vient de l’intégrer,
Lors de cette session en
Azerbaïdjan, plusieurs dizaines de responsables de sites inscrits au patrimoine
mondial présents sur place ont été invités à découvrir un paysage classé dans
le centre du pays : Gobustan. On y trouve plus de 6000 gravures d’art rupestre
remontant pour certaines, à l’âge de pierre.
L’UNESCO qui veille sur plus d’un
millier de sites classés dans le monde tiendra session en Chine l’an prochain.
L’office national des examens et concours du supérieur (ONECS) demande aux candidats de consulter les résultats en ligne via les téléphonies mobiles: Airtel et Tigo et le site de l’ONECS: ww.onecs.org
A 92 ans, le Président Béji Caïd vient de casser sa pipe ce jeudi 25 juillet 2019. Selon le communiqué de la présidence, il est mort à 10 h 25, à l’hôpital militaire de Tunis.
Le président Béji Caïd avait été hospitalisé mercredi soir, sans que les soins prodigués ne parviennent à améliorer son état de santé indique Jeuneafrique. En début de matinée, avant que l’information ne soit officiellement confirmée, Hafedh Caïd Essebsi, fils du président défunt, avait publié sur sa page Facebook une simple photo de ce dernier, faisant un signe d’au revoir de la main, sans commentaire.
Le 27 juin dernier, le chef de l’État tunisien avait été
hospitalisé en urgence à l’hôpital militaire de Tunis suite à un « grave
malaise ».
Lors
du 3ème congrès ordinaire de la coordination nationale des maitres
communautaires du 24 juillet, le ministre de l’éducation nationale et de la
promotion civique et le délégué régional de l’éducation nationale ont brillé
par leur absence.
Prévu à 9 heures, l’attente
du ministre de l’éducation nationale et du délégué régional de l’éducation
nationale a fait somnoler certains congressistes. Pendant ce temps, on demande
aux arrangeurs de son de jouer la musique, histoire de détendre les congressistes
et participants. L’un d’eux a rétorqué que « Nous sommes ici pour arranger le son et non jouer de la musique. C’est
pas notre travail », lance-t-il d’un air coléreux.
A 11 heures, c’est le
représentant du délégué régional qui débarque mais n’ayant pas appris de quoi
il s’agit parce qu’il est appelé à l’improviste pour représenter son patron, on
l’avait retiré pour le mettre dans le bain du sujet pendant une quinzaine de
minutes.
A ce moment-là, le
modérateur a obligé les arrangeurs de son à jouer la musique pour couvrir ce
manquement. C’est à 11h30 que ce fameux congrès a commencé pour finir à 13
heures.
Une attitude qui n’a pas plus à certains participants et hommes de médias présents à la cérémonie. Les congressistes eux, se sont réjouis parce que l’avant dernier congrès a eu lieu en 2012.