RDC : l’invalidation de l’élection de députés de l’opposition annulée

La Cour constitutionnelle de la République démocratique du Congo est partiellement revenue mercredi et jeudi sur sa décision d’invalider l’élection de plusieurs députés d’opposition, une mesure qui avait ravivé les tensions politiques à Kinshasa.

La Cour a réhabilité dix-neuf des 23 députés de la coalition d’opposition Lamuka invalidés, après examen d’ « erreurs matérielles » par une chambre spéciale de cette instance judiciaire, selon un décompte de l’AFP auprès des formations politiques. Parmi les députés de l’opposition dont la victoire a finalement été confirmée par la Cour : Raphael Kibuka, Daniel Mbayo du MLC, Chérubin Okende, Daniel Safu et Mutombo Kasongo Germain de l’AMK, Jean Claude Kibala (MS) ou encore Amato Bayubasire (UNC).

Au total les juges se sont prononcés sur 178 dossiers de contestation des résultats des législatives nationales du 30 décembre rendus par la Commission électorale et leur validation par la Cour constitutionnelle. La liste définitive des députés nationaux devait être connue jeudi, selon le greffe de cette instance judiciaire congolaise.

Parmi les parlementaires de Lamuka, au moins quatre députés proches de l’ex-gouverneur du Katanga Moïse Katumbi, ont été réhabilités par ces arrêts. Le Mouvement de libération du Congo (MLC) de l’ancien vice-président Jean-Pierre Bemba a reconnu que trois de ses élus invalidés avaient été réhabilités, dans un communiqué.

« J’ai un sentiment de satisfaction, teinté de regret étant données les péripéties qu’a connue ma validation définitive, alors que j’ai obtenu plus de 26 000 voix. L’invalidation de mes camarades de l’opposition pour des raisons inavouées me laissent aussi un goût amer » a réagit Raphael Kibuka, contacté par Jeune Afrique. « Les autorités politiques et judiciaires doivent désormais tout mettre en œuvre pour que nous ayons une justice véritable, gage de tout développement. L’appareil judiciaire devra écarter les brebis galeuses », a-t-il ajouté.

Au moins deux députés du parti de l’ancien président Joseph Kabila, le parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) précédemment validés, ont été écartés par ces décisions définitives de la Cour constitutionnelle.

Le FCC toujours majoritaire

La Cour constitutionnelle avait invalidé le 11 juin l’élection de 23 députés d’opposition, dans la plupart des cas au bénéfice de la majorité parlementaire de l’ancien président Joseph Kabila. Plusieurs ministres et gouverneurs de provinces ont vu leurs mandats validés, alors que la Commission électorale ne les avait pas proclamés élus. Le président Félix Tshisekedi avait lui-même estimé que certains arrêt de la Cour étaient « scandaleux ». L’ex-candidat Martin Fayulu avait participé dimanche à une manifestation interdite, en partie contre ces décisions.

Les décisions de la Cour constitutionnelle en RDC ne donnent normalement pas lieu à des recours. En dépit de ces annulations d’invalidations, le Front commun pour le Congo (FCC), coalition des partisans de l’ex-président Kabila, dispose de la majorité absolue à l’Assemblée nationale.

JA

TCHAD : la Banque Mondiale accorde 41 millions de dollars à la République du Tchad

Un accord de financement sous forme d’un don a été accordé à la République du Tchad ce vendredi 5 juillet 2019 par la Banque Mondiale au profit du Projet de Renforcement de la Résilience Climatique et de la Productivité Agricole Durable (ProPAD) pour une durée de 5 ans.

La signature de ces conventions vient couronner un long processus d’échanges approfondis entre les deux partie.

Pour la Ministre de la Production, l’Irrigation et des Equipements Agricoles, Lydie Béassemda, les conventions définissent et situent les responsabilités et les engagements de chacune des parties. « Elles serviront de base d’évaluation de la performance des agences de mise en œuvre. La bonne performance restera le seul critère déterminant pour décider de la poursuite ou non de la collaboration entre les deux parties durant la vie du projet », a-t-elle noté.

Selon la Coordinatrice du Projet ProPAD, Khadidja Abdelkhader, la signature de ces conventions est une ambition et un défi passionnant. « L’objectif même de ces conventions est d’officialiser notre partenariat, sur le plan technique, mais aussi sur le plan des actions à réaliser sur le terrain. En nous engageant, d’une part, à suivre ou poursuivre des missions communes, et d’autre part, à soutenir l’action du Projet ProPAD pour l’atteinte des objectifs ».

Ibrahim Mahamat Djamous nommé conseiller au Pétrole et Energie à la Présidence

Décret 952 : Ibrahim Mahamat DJamous est nommé conseiller au Pétrole et de l’Energie à la présidence de la République Tchad en remplacement de Monsieur Abakar Ali koura

Sport : Faut-il qu’une sportive soit belle pour être sponsorisée ?

Bien plus que chez les hommes, les marques semblent autant attirées par le physique des joueuses que par leurs performances.

Nike, Adidas, Puma, Coca-Cola, Emirates ou encore Visa : ces marques sponsorisent des athlètes pour des sommes astronomiques, s’élevant parfois à des dizaines de millions d’euros.

Les grands évènements sportifs internationaux comme les tournois du Grand Chelem ou les Coupes du monde sont l’occasion rêvée pour les annonceurs d’accroître leur visibilité et leurs ventes. Leurs campagnes de publicité sont d’ailleurs très souvent incarnées par des sportifs ou sportives en compétition.

La médiatisation joue un rôle majeur dans le sponsoring des athlètes : plus elle est grande, plus les sponsors sont intéressés. Si le sport féminin a toujours été moins largement diffusé que le sport masculin, il existe tout de même des sportives sponsorisées. Leur physique jouerait-il ?

Le cas Alex Morgan

«Aujourd’hui, avant de décider de sponsoriser un ou une athlète, les sponsors se fient à plusieurs critères : les résultats sportifs, le parcours de vie, l’audience sur les réseaux sociaux et bien sûr le physique. Lorsque vous êtes un annonceur dans le textile, vous voulez que votre produit soit mis en avant de la meilleure des manières. Les marques ne vous le diront pas explicitement car ce n’est pas politiquement correct, mais c’est une évidence que le physique rentre en compte», reconnaît Mathieu Poplimont, créateur du média Le Sport Business.

L’Américaine Alex Morgan en est le parfait exemple : avec 6,8 millions d’abonnés (ées) sur Instagram et 106 buts en sélection, l’attaquante est une star sur et en dehors du terrain.

Footballeuse la mieux payée au monde, elle devrait selon les estimations toucher plus d’un million de dollars [environ 885.000 euros] en 2019, entre son salaire, ses primes et ses contrats de sponsoring.

Si des marques comme Nike, Panasonic, AT&T, McDonald’s et Coca-Cola se l’arrachent, ce n’est pas seulement dû à ses performances sportives, mais aussi à ce qu’elle incarne : entre red carpets, campagnes de pub et prises de positions contre sa fédération, elle jongle entre son image de mannequin, de féministe et de sportive.

La footballeuse a même fait partie du classement des cent personnalités les plus influentes au monde dressé par le Time Magazine en avril 2019.

Une certaine image de la féminité

Le 7 juin dernier, Catherine Louveau, sociologue spécialiste des questions de genre dans le milieu sportif, dénonçait dans L’Obs les injonctions données aux sportives : «On m’a ainsi rapporté que la Fédération française de Football (FFF) incite les joueuses à se montrer “plus féminines”. Il y a quelques années, la grande majorité des joueuses de l’équipe de France de football avaient les cheveux courts, notamment pour des raisons pratiques. Aujourd’hui, elles ont presque toutes les cheveux longs –elles sont même parfois maquillées sur le terrain.»

Pourtant, parmi les vingt-trois joueuses françaises sélectionnées, seules trois attirent réellement l’attention des sponsors: Eugénie le Sommer (ambassadrice pour Puma), Gaëtane Thiney (Adidas, Arkema, Orange) et Amandine Henry, qui a notamment participé à la publicité Nike «Dream Further», sortie juste avant le début de la Coupe du monde. En France, à part ce trio, le sponsoring chez les footballeuses reste marginal.

«Ce sont trois joueuses qui sont performantes sur le terrain, des taulières, et ce sont aussi de belles femmes. Il y a beaucoup d’hypocrisie quand on commence à parler de physique, alors qu’en off, tout le monde le sait. On le voit aussi pendant les interviews des joueuses, elles n’arrêtent pas de dire qu’elles veulent garder une part de féminité», relève Mathieu Poplimont.

De fait, le sport est un métier d’image, comme peuvent l’être le cinéma ou la télévision. Pendant longtemps, les athlètes étaient seulement représentés (ées) dans des médias spécialisés ; aujourd’hui, leur présence (publicitaire) est partout, des réseaux sociaux aux campagnes d’affichage en passant par la télévision.

Bartoli, l’anti-Kournikova

Dans le sport féminin, l’image de la femme a tendance à être exploitée avant celle de la championne. À la fin des années 1990, la joueuse de tennis Anna Kournikova a affolé les sponsors grâce à son physique de mannequin.

«Les joueuses de tennis ont souvent été considérées comme des femmes-objets ou comme des sex-symbols […]. À l’époque [de Kournikova], c’est encore monté d’un cran», note David Skilling, attaché de presse et consultant marketing pour les athlètes pros, auprès de CNN.

En 1999, la Russe aurait gagné 10,25 millions de dollars rien qu’en contrats de sponsoring. À titre de comparaison, la joueuse a touché 3,6 millions dollars de gains en tournois de 1995 à 2003 –elle n’a jamais remporté un seul tournoi en individuel.

«La Russe recevait bien plus d’attention et d’argent des sponsors que beaucoup d’autres joueuses qui étaient pourtant meilleures qu’elles», souligne le journaliste spécialisé Ben Rothenberg pour CNN. En somme, ce ne seraient pas tant les performances sportives qui comptent que ce qu’incarne la sportive.

Bien loin d’une Anna Kournikova, la tenniswoman française Marion Bartoli a quant à elle longtemps été boudée par les sponsors. Son physique dit «atypique» pour une sportive de haut niveau a souvent été critiqué: «Elle est grosse Marion Bartoli», «Tu ne seras jamais un canon, tu ne seras jamais une Sharapova», «Marion Bartoli, demi-finaliste de poids», les remarques sexistes ne manquaient pas.

En 2010, Marion Bartoli n’a décroché aucun contrat de sponsoring pour ses tenues ; la joueuse était pourtant classée onzième mondiale. «Peut-être que je ne suis pas assez blonde, assez grande ou assez mince. Je suis onzième mondiale, mais je vais acheter mes chaussures et mes tenues au magasin comme tout le monde», confiait-elle.

Au creux de la vague

Le tennis et le football ne sont pas les seuls sports touchés par cette objectification du corps féminin. Dans le milieu du surf plus que dans toute autre discipline, les athlètes féminines sont jugées sur leur physique plutôt que sur leurs résultats sportifs.

Silvana Lima en est la preuve : avant 2018, la Brésilienne n’avait jamais décroché un seul contrat de sponsoring. Les différentes marques avaient jugé le physique de la surfeuse, pourtant sacrée huit fois meilleure surfeuse brésilienne et à deux reprises deuxième mondiale, pas assez gracieux à leur goût.

La sportive s’est exprimée à ce sujet en 2016, lors d’un entretien avec la BBC : «Je ne ressemble pas à un mannequin, je ne suis pas une bonnasse. Je suis une surfeuse professionnelle. Mais quand il s’agit des femmes, les marques de vêtements de surf veulent à la fois des surfeuses et des mannequins. Donc si vous n’avez pas l’allure d’un top model, vous finissez sans sponsor, c’est ce qui m’est arrivé. Vous êtes exclue, à jeter. Les hommes n’ont pas ces problèmes.»

Une injustice d’autant plus criante que les sponsors sont précieux pour les surfeuses : l’absence de contrats peut les priver de compétition, les gains en championnat n’étant pas assez conséquents pour financer leurs déplacements dans le monde entier.

Alors oui, il faut être belle pour être sponsorisée –preuve que le sport n’est que le reflet de notre société. «On est dans une époque où on ne peut pas se mentir : on se juge tous au premier regard», admet Mathieu Poplimont.

Slate fr

CAN EGYPTE 2019 : Un huitième de finale plus ouvert !

Les huitièmes de finale s’ouvrent ce vendredi 5 juillet en Egypte avec des très bonnes affiches.

Bénin-Maroc, un match difficile pour les « Ecureuils » contraints des favoris du tournoi. Un autre favori de cette Coupe d’Afrique 2019, « Les Lions de la Terranga » du Sénégal seront opposé à l’Ouganda, l’une des surprises de cette compétition.

Après 40 ans d’absence en phase finale de la CAN, l’Ouganda doit défendre gravement sa chance face à des sénégalais favoris. Les Ougandais plus forts, les sénégalais fragilisés par leurs revers face à l’Algérie autrement dit un huitième de finale bien plus ouvert qu’il n’y parait.

Quatre équipes demeurent invaincues jusque-là dans cette CAN, il s’agit du Cameroun (Champion en titre), l’Egypte (le pays organisateur), l’Algérie et le Maroc qui n’ont encaissés aucun but.

TCHAD BAC 2019 : Plusieurs candidats à Abéché expulsés de la salle d’examen

C’est depuis le lancement des premières épreuves, le 1er juillet 2019 que ce mélodrame continu de faire la vague.

Ces candidats au baccalauréat surpris entrain de tricher ont été expulsés soit à cause des fuites, soit pour utilisation des téléphones portables pendant la composition. Choses pourtant interdites en examen.

Au total 52 candidats exclus. 26 candidats exclus au centre N°1 au lycée national Franco-Arabe d’Abéché ; 21 candidats au centre N°2 et 5 candidats au lycée féminin-bilingue d’Abéché, le centre N°3.

Un baccalauréat 2019 qui invite à réinventer les examens dans son ensemble au Tchad.

Tchad : 500 000 euros pour le repas scolaire dans le Lac, le Kanem et le Guera

Signature d’une convention de 283,5 millions FCFA entre l’Ambassade de France au Tchad et le programme alimentaire mondial pour le repas scolaire  dans trois provinces.

Cette convention intervient après avoir investi en 15 ans, 23 millions d’euros  soit 13 milliards de FCFA pour la lutte contre la faim et la malnutrition au Tchad. Le gouvernement français à travers son ambassade au Tchad annonce, que cette nouvelle contribution de 500 000 euros au programme alimentaire mondial (PAM) permettra de relever les défis liés à l’éducation des filles, notamment les adolescentes dans les provinces du Lac, Kanem et du Guera. Ce financement vise à donner le repas scolaire à plus de 13 250 élèves afin de les attirer et les maintenir à l’école.

La représentante du PAM,  madame Nancy Walters souligne que le souci de son institution c’est donner à chaque élève tchadien un repas chaud pouvant les aider à aller à l’école. Car la faim et la malnutrition ont des effets néfastes sur l’éducation des enfants. « D’ici 2030, les élèves tchadiens en particuliers ceux des provinces en insécurité alimentaire auront accès à une alimentation saine et équilibrée, qui réduit leur vulnérabilité à la faim et améliore leur accès, leur rétention et leur performance à l’école », indique madame Nancy Walters.

Philippe Lacoste, ambassadeur de France au Tchad,  « Chaque année plus de 3 000 000 d’enfants morts pour des causes liées à la malnutrition. La malnutrition est un fardeau planétaire qui affecte au moins une personne sur trois », renseigne-t-il ajoutant que malgré les efforts et progrès consentis dans la lutte contre la faim et la malnutrition, certains pays d’Afrique enregistrent toujours un nombre important des enfants malnutris.

« La France s’est engagée dans ce combat à différents niveau international et européen et aussi à travers ses interventions pour la nutrition », ajoute-t-il.

Le secrétaire d’Etat à l’éducation, monsieur Lamine Moustapha a pour sa part indiquer que pour parvenir à un Tchad libéré de la faim et de toutes les formes de malnutrition d’ici 2023 et luinpermettre de sortir de la dépendance humanitaire, « il est impératif d’accélérer et d’intensifier les actions visant à renforcer la résilience et la capacité d’adaptation des systèmes alimentaires, ainsi que les moyens d’existence des populations »,lance-t-il

Egypte : 19 étudiantes tchadiennes expulsées à Ismailiya

Selon la source de l’information, ces étudiantes tchadiennes étaient   envoyées en Egypte dans le cadre des bourses d’études octroyées prétendument par la Fondation Grand Cœur de Hinda Déby Itno.

Ces 19 jeunes filles tchadiennes âgées entre 19 à 21 ans n’ont pu s’inscrire depuis une année. Elles ont appelé l’Ambassadeur du Tchad, Al-Amine Adoudou Khatir qui leur a raccroché au nez.

Elles viennent d’être expulsées de leur appartement à Ismailiya à 200 km du Caire. Elles ont marché plus de 200 km à pied pour atteindre le Caire. Mais le calvaire continue pour ces filles qui ont naïvement cru à la générosité de cette fondation qui escroque les Tchadiens et les étrangers.

Source : Makaila Nguebla

Fin de l’évaluation à mi-parcours du ministère de la santé publique

Le ministre de la santé publique Aziz Mahamat Saleh a clôturé les travaux de la 25 réunion du comité directeur cet après-midi 04 juillet à l’hôtel Hilton de N’Djamena.

Après trois jours d’évaluation, les participants à cette rencontre entre toutes les délégations sanitaires provinciales ont identifié les contraintes, défis et les goulots d’étranglement qui minent la performance des délégations sanitaires précisément les causes des décès maternelles, néonatales et enfantines, la gouvernance sanitaire et la rédevabilité des activités menées durant les six mois.

A l’issue des assises des recommandations ont été formulées à l’endroit des différents responsables de la pyramide sanitaire pour relever les défis majeurs dans le secteur de santé au Tchad.

La marche vers les législatives est annoncée

L’annonce est fait hier 03 juillet 2019 quand l’assemblée nationale a voté le nouveau code électoral à l’issue d’un vote de 127 pour, 29 contre et zéro abstention.

Un code qui modifie celui de 2015 et précise l’augmentation des délais relatifs à la convocation du corps électoral et à l’affichage des listes électorales qui passe de 30 jours à 4 mois.

La publication des résultats dans chaque circonscription électorale, dans 48 heures après la fermeture du scrutin. Les délégués des différentes formations politiques ou candidats auront l’occasion d’assister, en tant que observateurs, au greffe de la Cour suprême à la réception et à l’ouverture des procès-verbaux. La possibilité du cumul de mandat ainsi que le système majoritaire à deux tours uniquement.

Dans ce nouveau code, l’on note l’augmentation de la caution pour la présidentielle, du remboursement des frais de campagnes électorales. Et enfin, l’organisation des élections partielles consacrée dans le chapitre 7 distinct alors qu’elle était dissimulée sous le chapitre 6, réservé au contentieux électoral.

Les députés ont aussi autorisé le Gouvernement à légiférer par ordonnance pendant les vacances parlementaires du 3 juillet au 5 septembre 2019. Ainsi la marche vers les législatives se précise.